Personne handicaper
Par Ninoka • 28 Décembre 2017 • 3 763 Mots (16 Pages) • 539 Vues
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Au niveau tertiaire par la surveillance des séquelles, la prévention des rechutes.
2/ La législation les débuts :
La première fois à l’ égard des adultes handicapés ont été prises au bénéfice des victimes de la 1er guerre mondiale puis étendues aux victimes d’ accident de travail plus les maladies professionnelles, puis aujourd’hui a l’ ensemble des PH :
Juillet 45 et 49 en faveur des aveugles et grand infirme ;
1954 : création des (CAT) centre d’aide par le travail, qui laisse place a se jour au (ESAT) établissement et service d’aide par le travail ;
1957 : obligation faite aux employeurs d’intégrer des travailleur H et droit pour eux de recevoir une éducation ou formation prise en charge par l’Etat ou par la S.S.
Loi d’orientation du 30/06/1975 citez en première partie de se travail.
Loi du 10 juillet 1987 met obligation d’emploi (6% de l’effectif total) les H ou assimilés pour tous établissements de 20 salariés ou plus ou le versement d’une contribution financière sachant que 30% des PH sont au chômage.
L’ AGEFIPH : Association de gestion de fond pour l’ insertion professionnelles des PH , elle a pour but de favoriser l’ accès et le maintient dans l’emploi des PH en milieu ordinaire du W agrée par le Ministère du w , c’ est une association privée.
Le 13 janvier 1989 modification de la loi d’orientation pour le maintien sans limite de temps des PH devenues adultes, dans les structures pour ado, lorsqu’il n’y a plus de places adaptées pour les accueillir.
Loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances des PH à pour but de répondre aux conséquences des incapacités.
LA SCOLARISATION DES ENFANTS ET ADOLESCENTS HANDICAPES
Le handicap a longtemps été relégué à la sphère privée, par le biais de la législation de 1975, le handicap est entré dans la sphère sociale pour devenir une responsabilité sociétale par la loi du 11/02/2005.
Le principe du droit à l’éducation des enfants et adolescents handicapés, inscrit dans la loi d’orientation sur l’éducation du 10 juillet 1989, est renforcé par la loi du 11/02/2005.
La loi consacre le devoir de l’éducation nationale d’accueillir tous les enfants de l’école la plus proche de leur domicile ou d’assurer, si nécessaire, leur scolarisation dans les établissements adaptés. Elle pose le principe d’une prise en charge effective, dès l’école maternelle et sans discontinuité, permettant à l’enfant de suivre le parcours de formation valorisant au mieux ses capacités.
Pour le jeune handicapé, l’enfant ou l’adolescent, l’éducation et la scolarisation sont des conditions essentielles de la découverte de ses aptitudes, de l’accès à la connaissance de l’apprentissage du vivre ensemble et de sa future participation à la vie de la cité. Grâce à la loi 2005 et sa mise en œuvre, le dispositif institutionnel a été profondément transformé : le ( pps) plan personnalisé de scolarisation, les équipes de suivi permettent le droit à une évaluation des compétences, des besoins ainsi qu’un suivi des mesures de mise en œuvre de l’ enfant ou l’ adolescent en situation de handicap. La famille est étroitement liée aux décisions.
Parcours de formation tout est mis en œuvre pour construire un projet personnalisé de scolarisation aussi opérationnel que possible dés lors que la famille à saisi la MDPH.
1er étape : analyse des besoins ;l’ analyse des besoins de l’ élève handicapé est déterminante pour amorcer dans les meilleures conditions une scolarité. L’école, la famille, l’enseignant référent doivent agir en partenariat.
La bonne marche des opérations est d’ autant plus indispensable qu’elle s’inscrit dans la durée.
Ainsi doivent être assurés :
- L’inscription et l’accueil dans l’école de référence
- La mobilisation et la mise en place de l’accompagnement nécessaire pendant toute la période d’instruction du dossier
- Une première évaluation de l’élève en situation scolaire par l’équipe éducative
- L’appui et le relais de l’enseignant réfèrent .L’analyse des besoins et l’élaboration du projet personnalisé de scolarisation par l’équipe pluridisciplinaire de la MDPH .
C’est à partir des besoins identifiés que l’équipe pluridisciplinaire va élaboré le(PPS) projet personnalisé de scolarisation de l’élève handicapé, en tenant compte des souhaits de l’enfant, adolescent et de ses parents.
Ainsi que la loi du 11/02/2005 garantit aux parents de jeunes sourds une liberté de choix entre une communication bilingue, langue des signes française et la langue française et une communication en langue française.
Par la création des PASS (pôles d’ accompagnement à la scolarisation des élèves sourds) permet de scolariser des élèves sourds et malentendants en milieu ordinaire, quel que soit le mode de communication choisi par la famille : langue des signes française ou langage codé leur développement se poursuit. L’enseignement de la langue des signes (LSF) est dispensé en primaire, au collège, au lycée d’enseignement général et technologique et au lycée professionnel.
D’une part, elle recouvre une valeur symbolique forte : inclure l’enfant handicapé au sein de la cité.
D’ autre part, elle facilite d’éventuels
Ces aménagements peuvent être envisagés dans l’établissement ou le jeune est accueilli, soit à temps partagé avec une autre structure qui propose une éducation adaptée (IME) institut médico éducatif et ou ( IMPRO) institut médico-professionnel.
Les établissements scolaires doivent etre accessibles aux jeunes à mobilité réduite.
La scolarité en milieu ordinaire : deux modalités :
L’intégration individuelle : elle permet à un enfant handicapé de suivre une scolarité dans une école ordinaire et une classe ordinaire ou il sera le seul (ou l’un des seuls)enfant handicapé. Ou des enseignants du réseau de l’aide
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