La jeune garde
Par Orhan • 30 Mars 2018 • 2 149 Mots (9 Pages) • 415 Vues
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la fraternité.
La République universelle.
Empereurs et rois, tous au tombeau.
Tant pis si la lutte est cruelle.
Après la pluie, le temps est beau.Nous sommes la jeune Garde
Nous sommes les gars de l’avenir
Élevés dans la souffrance
Oui nous saurons vaincre ou mourir
Nous travaillons pour la bonne cause
Pour délivrer le genre humain
Tant pis si notre sang arrose
Les pavés sur notre chemin !
Prenez garde, prenez garde
Vous les sabreurs les bourgeois les gavés
V’la la jeun’ Garde, v’la la jeune Garde
Qui descend sur le pavé
C’est la lutte finale qui commence
C’est la revanche de tous les meurt-de-faim
C’est la révolution qui s’avance
C’est la bataille contre les coquins
Prenez garde, prenez garde
V’la la jeun’ Garde
Enfants de la misère,
Nous sommes de force des révoltés
Nous vengerons nos pères
Que des brigands ont exploités.
Nous ne voulons plus de famine,
A qui travaille il faut du pain.
Demain nous prendrons les usines,
Nous sommes des hommes et non des chiens.
Nous n’voulons plus de guerre
Car nous aimons l’humanité.
Tous les hommes sont nos frères,
Nous clamons la fraternité.
La République universelle.
Empereurs et rois, tous au tombeau.
Tant pis si la lutte est cruelle.
Après la pluie, le temps est beau.
Nous sommes la jeune Garde
Nous sommes les gars de l’avenir
Élevés dans la souffrance
Oui nous saurons vaincre ou mourir
Nous travaillons pour la bonne cause
Pour délivrer le genre humain
Tant pis si notre sang arrose
Les pavés sur notre chemin !
Prenez garde, prenez garde
Vous les sabreurs les bourgeois les gavés
V’la la jeun’ Garde, v’la la jeune Garde
Qui descend sur le pavé
C’est la lutte finale qui commence
C’est la revanche de tous les meurt-de-faim
C’est la révolution qui s’avance
C’est la bataille contre les coquins
Prenez garde, prenez garde
V’la la jeun’ Garde
Enfants de la misère,
Nous sommes de force des révoltés
Nous vengerons nos pères
Que des brigands ont exploités.
Nous ne voulons plus de famine,
A qui travaille il faut du pain.
Demain nous prendrons les usines,
Nous sommes des hommes et non des chiens.
Nous n’voulons plus de guerre
Car nous aimons l’humanité.
Tous les hommes sont nos frères,
Nous clamons la fraternité.
La République universelle.
Empereurs et rois, tous au tombeau.
Tant pis si la lutte est cruelle.
Après la pluie, le temps est beau.Nous sommes la jeune Garde
Nous sommes les gars de l’avenir
Élevés dans la souffrance
Oui nous saurons vaincre ou mourir
Nous travaillons pour la bonne cause
Pour délivrer le genre humain
Tant pis si notre sang arrose
Les pavés sur notre chemin !
Prenez garde, prenez garde
Vous les sabreurs les bourgeois les gavés
V’la la jeun’ Garde, v’la la jeune Garde
Qui descend sur le pavé
C’est la lutte finale qui commence
C’est la revanche de tous les meurt-de-faim
C’est la révolution qui s’avance
C’est la bataille contre les coquins
Prenez garde, prenez garde
V’la la jeun’ Garde
Enfants de la misère,
Nous sommes de force des révoltés
Nous vengerons nos pères
Que des brigands ont exploités.
Nous ne voulons plus de famine,
A qui travaille il faut du pain.
Demain nous prendrons les usines,
Nous sommes des hommes et non des chiens.
Nous n’voulons plus de guerre
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