La morale.
Par Junecooper • 1 Septembre 2018 • 890 Mots (4 Pages) • 562 Vues
...
comment le mal vient définir le bien, puis nous tenterons de
montrer que le bien n’existe pas, c’est toujours un acte doublé d’une bonne intention qui parfois
n’aboutie pas forcement au bien.
I. Le mal vient définir ce qu’est le bien.
a) Qu’est ce que le mal ?
Il y a trois sortes de mal défini par la morale.
D’abord le mal physique : tuer, voler, violer, autant d’actes abominables, cruels, qui ont poussé les
hommes à travers les siècles et ont apporter la torture, l’esclavage…
Le mal morale : le harcèlement, les insultes, le mensonge. Ce sont tout les actes du langage ou de
la pensée qui peuvent faire du mal à autrui (la rumeur, les ragots), il peut ne pas y avoir d’atteinte
physique directe sur la personne.
Le mal métaphysique : ce sont les dépressions, la schizophrénie, le mal être qui implique que les
personnes ne se sente pas à leur place, à l’époque ou au sein de la société dans laquelle elle vive.
Mais il y a aussi la folie. C’est un mal qui est surtout abordé dans le cadre de la psychanalyse.
Ces trois définitions du mal sont claires, or si elles vont nous aider à définir le bien elle vont aussi
poser des problèmes à la société pour établir les lois et tenter de juger si un acte est mauvais.
b) Qu’est ce que le bien ?
Le bien est une notion très vague, le philosophe cherche à encadrer cette notion avec trois mots
ce qui est morale, immorale ou amorale. Ce qui est morale c’est cette intention bonne définie par
Kant, c’est-à-dire ce qui nous pousse à agir, un mélange d’idéal de justice, de bonté, d’altruisme.
Ce qui est immorale c’est le vice, c’est-à-dire le mal dans le cadre d’une mentalité inscrite dans
une société donnée (ex : l’homosexualité selon les époques et les civilisations peut être tolérée,
rejetée ou acceptée)
Ce qui est amorale c’est essentiellement ce qui n’est ni bien ni mal c’est-à-dire ce qui ressort de
tout acte humain. En effet, c’est notre intention, bonne ou mauvaise qui fera qu’un acte est morale
ou immorale.
c) Ce qui rentre en jeu c’est le conformisme.
C’est-à-dire le confort de notre pensée, de notre mentalité dans une persuasion intime que ce que
nous faisons correspond à un modèle idéal pour la société actuelle.
Le conformisme est lié à une hypocrisie ambiante et surtout à un certain "élitisme" ; il est lié à un
modèle de société que les hommes veulent se donner mais les modèles sont dangereux, ils ont
souvent débouchés sur des discriminations, sur la cruauté envers le différence et sur
l’extermination.
Ainsi on rejoint l’idée de Sartre que l’acte humain dépend de chacun de nous, c’est seulement une
fois que nous aurons agit, pensé, parlé et fait les choses que l’on pourra dire si un acte un morale
ou immoral.
PATRICIA
...