UE 2.10.S1 : Infectiologie-hygiène
Par Stella0400 • 6 Octobre 2018 • 955 Mots (4 Pages) • 655 Vues
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une table à proximité du lit du patient afin d’éviter les aller-retour.
Le but recherché dans cette acte est de réalisé un soin efficace et agréable pour le patient, cela en respectant au maximum les règles d’hygiène de manière organisé.
b) Présentation du soin à évaluer
Le type de soin est une toilette complète au lit réalisé avec une aide-soignante, une aide moindre du patient étant donné que ses capacités de motricité sont presque nulles et moi-même.
Cette acte de soin nécessite l’utilisation de plusieurs matériels cités ci-dessous:
- Une table propre
- Un sac poubelle
- 3 serviettes de couleur différente, non seulement une pour le haut de corps et pour le bas mais également une troisième pour les cheveux à la demande de la femme du patient.
- 2 gants de toilettes, tel que pour les serviettes il y en a un pour le haut et un différent pour le bas. - Des gants à usage unique au cas où la quantité de selle serait élevée.
- Un savon doux,
- Un shampoing dermatologique
- Un peigne
- Un rasoir, de la mousse à raser, et de la crème après rasage.
- De la crème dexeryl
- Des vêtements plus précisément un débardeur, un pull, un pantalon et des chaussettes
- Une paire de chausson
- Des bandes de contention
- Du papier toilette
- Une protection
- 1 bandes hygiéniques
- un Chiffon
- une solution hydro-alcoolique
- Sachet exclusivement pour ma tenue
- Sac poubelle standard
Pour réaliser ce soin j’ai utilisé comme support de référence les fiches techniques de l’IFSI, ainsi que les cours d’infectiologie-hygiène et un protocole individualisé de soin réalisé par le service ABRAPA en annexe.
c) Argumentation
Les raisons de ce choix sont multiples.
Tout d’abord, j’’ai souhaité choisir ce soin car c’est un acte où le shampoing se fait au lit. Or, je trouve que de faire un shampoing au lit était une situation particulièrement intéressant du fait des capacités d’adaptation que demande ce soin. De plus, cela témoigne de l’indépendance du patient et de son autonomie qui est considérablement moindre. En outre, c’est avec ce cas que j’ai découvert le soulève malade, ce matériel m’a interpelé pour diverses raisons.
Tout d’abord, l’utilisation du soulève malade est un acte technique qui demande beaucoup d’attention. En effet, le placement du harnais doit être fait correctement et en fonction des pathologies du malade, afin d’assurer sa sécurité et le confort du patient. Par conséquent, si le harnais n’est pas mis correctement le patient risque d’être victime d’une chute qui peut s’avérée fatale. En outre, selon moi, un soulève malade est un matériel pratique mais qui peut être dangereux s’il n’est pas adapté avec précision au poids du patient.
Puis, en sachant que M. R est dans cet état depuis une trentaine d’années m’a davantage
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