RELATIONS DE PARENTÉ ENTRE LES ÊTRES VIVANTS
Par Raze • 22 Mai 2018 • 698 Mots (3 Pages) • 663 Vues
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Placer les innovations évolutives sur l’arbre
Ø Arbre phylogénétique (cladogramme)
Espèce 2 Espèce 3 Espèce 4
Branche = lien évolutif = chaque nouvelle branche est justifiée par l’apparition d’une IE Nœud = AC = dernier ancêtre commun entre les espèces (branches) qui en découlent IE = Innovation évolutive qui fait passer un caractère de l’état ancestral à l’état dérivé. Les nouvelles IE se placent sur les nouvelles branches
IE1
IE 2
AC2 (possédant IE1)
AC3 possédant IE1 et IE2
AC1
Espèce 1 (extra-groupe)
IE1
IE 2
AC possédant IE1
AC possédant IE2
Espèce 1 (extra-groupe)
Espèce 2 Espèce 3 Espèce 4
Groupe monophylétique ou clade 1
Groupe monophylétique ou clade 2
AC3 plus récent que AC2 plus récent que AC1. Les espèces 3 et 4 sont les plus proches parents (= groupes frères qui forment un groupe monophylétique)
Matrice de caractères
Arbres phylogénétiques construits sur la base d’une matrice de caractères
À partir de la matrice, construire les arbres possibles
Matrice de caractères
Arbres phylogénétiques construits sur la base d’une matrice de caractères
Selon le principe de parcimonie, l’arbre b sera retenu car il n’utilise que 7 sauts évolutifs
À partir de la matrice, construire les arbres possibles
Ø Apport des données moléculaires (méthode phénétique) Ø Des protéines, présentes chez différentes espèces, ayant la même structure et assurant la même fonction sont des molécules homologues. Ø Les différences constatées (matrice des distances) entre molécules homologues s’expliquent par des mutations apparues au hasard au cours du temps au niveau du gène. Ø Les similitudes (matrice des ressemblances) entre séquences d’acides aminés des protéines homologues de différentes espèces résultent donc de similitudes dans la séquence des nucléotides des gènes codant ces protéines. Ce sont des gènes homologues. Ø Les gènes homologues dérivent d’un gène ancestral présent chez l’ancêtre commun aux espèces étudiées. Ø Plus le nombre de différences, en acides aminés ou en nucléotides entre les espèces étudiées, est faible et plus les molécules et donc les organismes qui les possèdent sont proches phylogénétiquement.
Séquences protéiques partielles de myoglobine de quelques Vertébrés
Matrice des distances (Myoglobines de différentes espèces)
Phénogramme
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