Psychologie relation patient-thérapeute
Par Matt • 16 Octobre 2017 • 1 141 Mots (5 Pages) • 711 Vues
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Elle en voulais à la conductrice et n’accepter pas la disparition de sa petite sœur, même après le procès, qui a conduit à des peines avec sursis et une amende pour l’accusé.
Durant 1 an, elle ne dormait plus, ne mangeais plus, étais dans une colère qui la détruisait au fond d’elle, et même le Facebook de sa sœur étais toujours en activité, et lui parlais souvent. Voyant que sa vie devenait très dure, qu’elle ne s’occupait presque plus de ses 2 garçons et de son mari, elle devait prendre une décision pour faire le deuil de sa sœur, et donc à décider de consulter un thérapeute spécialisé en deuil.
Voici son témoignage qui a été positif :
Tout d’abord, elle me disait que c’est très dure d’aller consulter un thérapeute au début, puis au fur et à mesure elle appréciait les séances avec le thérapeute, car elle se sentais en confiance et comprise.
Il a fallu 5 séances, qui dure environ 1 heure, de commencer à parler de ses émotions et de sa souffrance du quotidien. Les 5 premières séances, lui ont permis de prendre confiance en sa thérapeute et de lui parler franchement, elle a beaucoup pleuré, et le soutien de la thérapeute lui a fait du bien.
Au fur et à mesure des séances, les blocages de son deuil commencèrent à lui faire prendre connaissance du décès de sa mère qui est survenu 2 ans avant, et qu’elle en voulait à la vie de lui avoir pris en 4 ans, des personnes qu’elle aimait.
La thérapeute lui avait demandé dans un premier temps, de pardonner à la vie et de fermer le compte à sa sœur, en écrivant qu’elle avait décidée de la laisser partir, ce qu’elle a fait. Elle s’est sentie libérée en faisant cela. Elle lui avait donnée des exercices à faire (écrire une lettre, offrir les vêtements de sa sœur à des associations, visualiser des moments inoubliables avec eux, aller le plus souvent aux cimetières leurs parlaient), tous cela commença à porter ses fruits. Elle se sentait plus légères.
Au bout de 10 séances, elle avait compris qu’elle devait vivre sa vie, et de s’occuper de sa propre famille, et que la mort étais en fait la suite de notre vie.
La thérapie lui as permis de parler ouvertement, de connaître ses blocages et de les surmonter, d’accepter la mort de ses proches tout en admettant qui sont proches, et qui faut garder des souvenirs d’eux, également pour ses enfants.
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