Management, devoir 2.

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par Numériperf, que pour la formation en bureautique générale. ok

Question 3 :Prise en compte des attentes des parties prenantes :

La partie prenante d’une entreprise (stakeholder en anglais) est définie par un individu (le plus souvent un groupe), qui exerce une influence sur celle-ci, et se voir a son tour affecté de ses prises de décisions (= vice-versa) et de son évolution globale, que ça soit directement ou indirectement.

Nous distinguons deux types de parties prenantes :

Les parties prenantes internes, formé des individus agissant directement dans l’entreprise (dirigeants, salariés, actionnaires, syndicats). (Faites attention aux fautes d’orthographe)

Les parties prenantes externes, formant l’environnement de l’entreprise mais n’y étant pas inhérent à titre individuel (fournisseurs, clients, institutions, Etats, associations...)

Il est primordial pour la pérennité de l’entreprise d’entretenir des relations de confiance avec les principales parties prenantes de Numeriperf, ces acteurs sont :

-Les actionnaires, apportant des fonds à l’entreprise en vue de dividendes lorsque celle-ci réalisera des profits. Dans un premier temps, les actionnaires de Numeriperf étaient de l’entourage proche des deux dirigeants, le lien était alors de type émotionnel, moins porté sur la rentabilité, cependant les dividendes représentaient tout de même 1/3 des profits réalisés OK

-Les salariés, maillon essentiel pour le fonctionnement de l’entreprise, en contrepartie du travail fournit, ils attendent une rémunération mais aussi des conditions de travail intéressantes. Marie-Louise et Jean-Charles pendant les 10 premières années, pour les inciter à ne pas quitter l’entreprise et ainsi les fidéliser, choisissent d’augmenter les rémunérations proportionnellement à 1/3 des profits. Par soucis de parité homme /femme par la mise en place d’un planning favorable aux femmes ayant des enfants.

-Quant aux clients, principale partie prenante externe à l’entreprise, dès les débuts de Numeriperf, se voyait offrir gratuitement en plus des prestations payées, de brèves mais efficaces formations sur la bureautique en général, n’ayant pas de rapport direct avec les logiciels gérés par l’entreprise. Ce qui contribua grandement à les fidéliser.( Je vous invite à vous relire)

Question 4 : Rationalité limitée :

Concept développé par Herbert Simon économiste et sociologue américain (5 juin 1916- 9 février 2001) dans son ouvrage « Administrative Behavior » (1947), « bonded rationality » traduit rationalité limitée, est une hypothèse considérant que les acteurs économiques ne disposent que de certaines informations partielles, et que leurs prises de décisions ne peut pas se faire de façon optimale, leur raisonnement étant limité par les ressources dont ils disposent. (Citez l’auteur de référence, Simon)

La prise de décision de Marie-Louise concernant le recrutement de Jérôme est une illustration de comportement basé sur la rationalité limitée car elle découle de l’absence d’informations totales/véridiques mises à disposition de Marie-Louise concernant le parcours et les capacités professionnelles de Jérôme.

En effet Jérôme falsifie son niveau de compétences lors de l’entretien de recrutement, il se qualifie professeur d’informatique alors qu’il n’a effectué que de brefs remplacement de niveau collège.

De plus les longues périodes d’inactivité sur son CV sont peut être révélatrices d’un manque de qualifications nécessaires pour retrouver rapidement un emploi.

La prise de décision de Marie-Louise ne peut être faite de manière objective et optimale, ne disposant pas d’informations vérifiables. (Essayez de faire ressortir des critères)

Question 5 : Problèmes de management :

Les principaux problèmes de management de Numeriperf sont centrés autour d’une mauvaise gestion des ressources humaines. Nous assistons à une démotivation des salariés dont les intérêts ne sont plus des critères pour les prises de décisions de l’entreprise. Ainsi une crise sociale s’amorce.

Ce premier problème de management est principalement causé par l’évolution du style de direction de Marie-Louise qui est devenue autoritaire, ne laissant plus de place à la consultation des autres acteurs de l’entreprise, que ça soit Jean-Charles ou les salariés. (essayez de vous relire)

Son autoritarisme la rend seule décisionnaire, c’est pourquoi à terme peut s’installer un problème de performance chez Numériperf, en effet, si elle tend à ne consulter aucun autre acteur de l’entreprise, elle ne dispose comme ressources que des siennes pour mener à bien les processus de l’entreprise. Ceci exprime la rationalité limitée.

L’étude du processus de décision, ou IMCC est un processus mis en place par Herbert Simon lui permettant de démontrer la rationalité limitée dans une entreprise. Ce processus s’articule en 4 phases : ok

- L’Intelligence (identification par le décisionnaire des ressources nécessaires pour le choix) ;

- La Modélisation (hiérarchisation des intérêts et ressources identifiés permettant de former d’hypothétiques solutions)

- Le Choix (Décision)

- Le Contrôle (Réévaluation de la stratégie pré-choisie)

Dans le cas de Numeriperf, la phase d’intelligence est perturbée par le manque de sources des informations. La phase de modélisation est correctement articulée selon les intérêts préétablis.

Puis la phase de choix ne concerne que Marie-Louise, ce qui génère un dysfonctionnement dans la phase de contrôle, en effet lors de la réévaluation de la mise en place du département « formation » notamment, Marie-Louise se rend compte qu’avoir nommé Jérôme chef de ce département est une erreur, mais refuse de l’affirmer publiquement.

Le second problème de management ici posé est principalement que cette phase de contrôle ne devrait pas être gérée par une seule personne. (La mauvaise organisation des autres phases est attribuée à l’autoritarisme de Marie-Louise et ne formulent pas ici un problème à part-entière, contrario à la phase de contrôle, phase nécessairement gérée indépendamment du processus de décision.) (Cette réponse manque de clarté)

Ces dysfonctionnements sont expliqués en partie par la personnalité du dirigeant. (Vous l’avez déjà dit)

Question