Management cned devoir 1
Par Christopher • 8 Février 2018 • 846 Mots (4 Pages) • 966 Vues
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La mauvais organisation des taches et du travail engendre des mauvais résultats et des objectifs non accomplis pour l'entreprise. En conclusion, l'entreprise montre des problèmes de de gestion de finance, gestion de ressources humaines et gestion de a structure de l'entreprise.
Question 5 :
- réorganisation du travail
- gestion de ressource humaine
( management opérationnel)
Toute solution pertinente et argumentée de façon aboutie peut être acceptée par le correcteur. (Ex. délégation du management opérationnel avec pour référence le cours de la séquence 3 – 2B.). L’idée de recrutements supplémentaires ne devrait pas apparaître puisque la hausse de la masse salariale « plus que proportionnelle à l’activité » est explicite dans le contexte. Néanmoins, il est attendu une solution en lien avec les tableaux de bord (généralités en lien avec la séquence 4 – 3) et, de façon plus précise, l’apport des TBP (exploitation de la ressource 2) en montrant que c’est un outil accessible aux PME même si elles sont peu à l’utiliser.
Sous-partie n°2 : La gestion des ressources humaines
Toute solution pertinente et argumentée de façon aboutie peut être acceptée par le correcteur, sans bien évidemment exiger des références non étudiées à ce stade du programme (ex. Maslow). La solution est à développer en exploitant la ressource 1 : Actionnariat salarié = une solution car : – Argument n°1 : Une réponse à l’implication des salariés car La Soulterie a besoin de créer un lien avec ses nouveaux salariés qui les pousse à s’identifier à l’entreprise alors qu’ils n’en ont pas connu la « montée en puissance ». – Argument n°2 : Le réinvestissement des profits sera mieux accepté par les salariés puisque gage de la profitabilité durable de La Soulterie – Limites : Le rapport du Sénat montre le succès limité de cette mesure dans une PME mais PAS les 3 premiers points puisque ce sont des réserves du côté des propriétaires. Le 4e point est plus intéressant dans notre cas : les salariés renonceront-ils vraiment à une demande de hausse immédiate pour un « salaire différé » : des dividendes plus tard… et peut-être ?
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