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Les approches unificatrices

Par   •  19 Août 2018  •  3 725 Mots (15 Pages)  •  448 Vues

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Le comportement routinier ou innovateur des agents économique constitue la forme la plus importante de stockage de la connaissance operationnel spécifique des organisations. Dans le cas de changement progressif les comportements innovateurs peuvent constituer une combinaison d'un premier comportement inséré dans le contexte séquentiel d'un processus d'apprentissage. Dans ce contexte les décisions prises par le dirigeants et les savoirs détenus par les salariés peuvent etre adapter a l'évolution du marché ou bien au contraire inadapter.

A chaque nouveau cycle d'innovation certaines entreprises disparaisse et d'autre se creer. Il y a donc une forme de sélection des routines par le marché. Les evolutionniste avance aussi le "concept de sentier de dépendance"(path depency) qui exprime l'idée que les performances et les trajectoire des firmes sont largement fonction de leur histoires particulieres et des routines qu'elle ont accumulés.

Ainsi un choix effectuer au temps T, va conditionner le développement future d'un certain nombre de routine organisationnel et donc les choix stratégiques futur de l'entreprise.

- Les approches contractuelles

Les théories contractuelle peuvent etre scindés en 3 groupes qui sont les suivantes:

- les théories des coûts de transaction

- la théorie de l'agence

- la théorie de droits de propriété

L'ensemble de ses 3 groupe de théorie contractuelle essaie de justifier l'existence de l'entreprise au regard du marché.

- Ronald COASE (1910-2013) Prix nobel de sciences économique en 1981

Jusqu'au années 1960, dans le corpus de la micro-économie standard la firme été assimilé a un agent individuel sans prise en considération de son organisation interne et des questions propres qu'elle soulevait. Cette vision saumère de la firme s'explique par l'objet centarale de la micro-économie, qui est l'étude des marché et de mécanisme des prix. Ce n'est qu'a partir des années 70 que la firm va devenir pour les économiste et pour le management un objet propre d'analyse après la redécouverte d'un article de Ronald COASE de 1937" the nature of the firm".

COASE y souleve la question de la nature de la firme il se pose la quetion qu'est ce qu'une firme et pk elle existe?

Sa réponse est que la firme constutue un mode de coordinantion économique a alternative au marché. Alors que, sur le marché la coordinantion des agents économique est réaliser par le systeme de prix. La firme se caracteristique par une coordination administrative et par la hiérarchie.Le recours a une tel coordianation peut etre nécessaire parce que la coordination par les prix entraine des couts qui sont ignorer dans les analyses standard du marché.

La prise en compte de ses couts nous conduira a ce que l'on appelle la théorie des couts de transaction.

Quand ses couts sont supérieur au cout d'organisation interne la coordination dans la firme s'impose. On trouve ainsi chez COASE 2 thèse d'une part firme et marché constitue de 2 modes de coordination completement différentes et d'autre part la firme est caractertise par le pouvoir d'autorité et par une hiérarchie

(L'approche contractuelle de la firme (texte)26*)

- théorie des couts de transaction

Cette théorie a été développer par OLIVER WILLIAMSON (1932-..) dans le prolongement de l'analyse de COASE.

Williammmson se distinge des néo-classique par des hypothèse sur le comportement de agen*t. Il reprend la théorie de la rationalité limitée de SIMON selon laquelle les agents ont des capacités cognitives limité ils ne peuvent pas dans des environnement complexe envisager tout les evenement possible et evaluer parfètement les consèquences de leurs actes. Les contrats sont donc le plus souvents des contrats incomplets qui ne prenent pas compte toutes les éventualités

L'incomplétude des contrat laisse une marge de main d' oeuvre aux parties elle permet ce qui l'on appelle les comportement opportunistes. C''est que ce situe le probleme essentiel pour Williamson: les choix organisationnel vise a ce protege contre l'opportunisme, ce probleme se pose tous particulièrement quand pour une transaction les agents doivent réaliser des investissement spécifique qui les rendent dépendant l'un de l'autre, chaque parties(agent) peut alors craindre que l'autre s'approprie les bénéfice de la transaction. C'est dans ce cas que selon la théorie des couts de transaction la coordination au sein de la firme sera préféré a la coordination par le marché.

L'importance donner dans cette vision a la spécificité des actifs et très disputer, il est aussi permit de ce demander dans quel mesure l'internalisation limite les comportements opportuniste. Le recours au marché est/ou a la coordination au sein de la firme pose également le probleme des choix entre intégration et externalisation.

Pour williammson, on peut trouver un optimum par les pratique d'impartition qui intégre a la fois l'internalisation a la firme et ceux du recours a l'externalisation c a d le marché.

- la théorie de l'agence ( ou la théorie des incitation) MICKAEL JENSEN (1939-..) et William MECKLING (1922-1998)

Dans un article paru en 1976, que Jensen et Meckling ont proposer de considéré l'entreprise comme un marché réguler par de multiple contrat. Dans ce cadre, la relation (d'agence) apparait comme un contrat reliant un ou plusieurs agents (principale) dépositaire d'une autorité a un autre tiers (l'agent) a qui est délégué la réalisation d'une tache.

La relation d'agence entre le princiapal et l'agent comporte plusieurs caracteristiques:

- une relation d'autorité

- une assymétrie informationnel car le principal ne peut etre parfaitement informé des conditions d'exécution de la tache réaliser par l'agent

- des droits de propriété

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