Le Marché du blé cas

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L’intervention de l’état par des subventions qui est une barrière protectionnistes d’où le faite que ce marché est imparfait.

En 2013/2014 nous remarquons une forte récolte prévue la Russie l’Australie et l’Inde (production de 680 à 690M de tonne) cela conclue à une réduction du prix du blé.

Cependant la Russie et l’Australie privilégient leurs réserves nationales que leur exportation, alors que l’Inde privilégie les réserves nationales et les exportations.

2) L’incidence de l’évolution des prix sur les décisions des consommateurs et des producteurs

La variabilité des prix peut avoir un impact sur la variabilité des unités de production, et sur une baisse des investissements par les exploitants.

L’augmentation du prix du pain n’a pas d’incidence sur le pouvoir d’achat des ménage en économie nous appelons ça la science des choix, donc quand le prix du pain augmente sa consommation baisse (c’est l’élasticité négative par la demande).

Car aujourd’hui le pain n’est plus un produit de première nécessité.

Comme vue dans la première partie quand le prix augmente les consommateurs changent leurs habitudes d’achat pour ne pas augmenter leur budget.

On peut aussi l’expliquer de cette façons : le prix du maïs est cher, les producteurs vont donc en produire d’avantage au détriment d’autres céréale qui elles verront leur prix augmenter (nous revenons au principe de rareté).

Pour les PVD une hausse du prix ne les incite pas forcément à produire.

Les facteurs climatiques jouent aussi leurs rôles dans la détermination des prix car ils nous ajoutent des risques liés à la quantité, et à la qualité donc à une incertitude des récoltes.

Le comportement possible du producteur face à ces risques, sont soit une augmentation de la production, car nous avons une hausse du prix, ou un produit trop risqué alors cela entraine une baisse de la production.

La hausse des prix est une incitation à produire plus, mais ça demande une augmentation des surfaces cultivable.