Histoire des institutions
Par Ninoka • 14 Mars 2018 • 10 760 Mots (44 Pages) • 393 Vues
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Les mérovingiens, à la mort de Clovis, consacre l’hérédité de la succession sur le trône. Le titre royale et le royaume revienne donc à ses fils à part égale. Chacun d’eux va recevoir une petite partie du royaume. Ces partages sont sources de conflits, de guerres, de luttes entre héritiers.
B - Une conception imprégnée de l’héritage romain et chrétien
Pour les rois barbares, la victoire militaire n’est pas tout et va se rattacher à l’empire.
1 - L’héritage Romain
Pour être légitime aux yeux de la populations, les rois barbares.
a - Des empreint à la terminologie romaine
Les francs veulent retrouver tous le vocabulaire romain dans les titres qu’ils vont chercher à s’attribué. Les rois francs se considère toujours comme la romanitas (romanité). Au début du VIIIe siècle, le roi franc se fait qualifier de princeps (prince). Ils disent qu’ils exercent la auctorita (autorité). En 507, clovis remport la bataille vouillé où il termine de dominer les chefs barbares. A son issu, Clovis se fait attribuer par l’empereur d’Orient qui lui subsiste, le titre d’August comme les empereures romains qui détiennent la autoritas.
b - La volonté devrait pour l’utilité de tous
Volonté qu’ils affichent. Les francs ne connaissent pas le terme respublica mais il y a d’autre formule qui traduise la persistance. Dans leur acte les roi francs expliquent qu’ils agissent au titre de la necessitas.
c - La soumission du roi à la loi
La loi dont les francs expliquent quelle à des fondements populaires. soumission du roi à la loi, à l’ordre juridique supérieur à laquelle il doit se conformer. Cette soumission est de tradition romaine.
2 - l’Héritage chrétien
Clovis à besoin de se lier à cette héritage chrétien. Il chercher l’appuit economique et financier de l’Eglise. Cela va permet au roi francs d’avoir une meilleure assise de son pouvoir.
Paragraphe 2 : Le contenue est l’exercice du pouvoir
A - Des prérogatives royales sommaires
Le roi exerce le pouvoir de façon globale, sans distinction. C’est à la fois juger, punir... La royauté mérovingienne est surtout une royauté qui exerce un pouvoir force. Le roi exerce deux prérogatives principales :
- Le banum : c’est une prérogative personnel. Pouvoir de commander, ordonner, interdire.
- Le Mundium : puissance protectrice. Il assure la paix. Tous sujet qui s’estime victime d’un tort pourra en faire part au roi pour être fait justice.
B - La pratique du pouvoir
Les souverains francs gouverne entourés de leur leudes. Le dévouement à la personne du roi passe avant le service public de l’état. Le roi s’appuit sur l’administration qui recouvre une triple formes :
- Le palais : courtisans, églisastiques soit d’origine francs soit d’origine galo-romaine. Tous vivent au près du roi. C’est un palais qui n’a pas de siège fixe, qui se déplace. On y trouve ceux que l’on nomme les anstructions (celui qui appartient à la truste, garde rapproché), ainsi que tous les service de la chancelerie royale dirigé par un chancelier dont la mission est de mettre en forme les actes royaux.
- Le plaid : assemblée des hommes libres et des guerriers. Ceci désigne une assemblée populaire, une réunion politique annuel qui est restreinte car elle réunit toute la ristocratie du royaume. Son rôle est consultatif
- Les agents locaux : Il faut relayer le pouvoir politique sur le territoire. Le roi délègue son banum et son mundium à des agents locaux qui prènent le nom de contes francs. Chaque est à la tête d’un pays (pagus) et il correspond aux anciennes circonscription administrative romaine qui se nomme les civitas. Ce conte commande, puni, lève des contingeant militaire, il est la prolongation du roi. Ce pouvoir peut être potentiellement dangereux.
Le plus célèbre maire du palais est Charles Martell qui à vaincu les musulmans à la bataille de vouneuille (poitiers) et son fils, Pépin Le Bref qui deviendra roi. Et ainsi commence la dinastie des carolingien.
Section 2 : Les carolingiens
Ils sont une dynastie qui entre la fin du VIIIe et Xe siècle ont transformer le royaume des francs en empire dont l’apogé territoriale correspond au règne de Charlemagne. Un empire qui - bien que militaire - n’a pas perdu la pratique du partage successorale. Les carolingien ont orienté la dynastie vers un nouveau but qui est l’unification de l’occident chrétien avec l’appuit de l’Eglise. Cela à coïncidé avec une nouvelle conception du pouvoir et de l’état. Certaines pratiques d’origine germanique et barbares sont compremettre cette agencement.
Paragraphe 1 : Une conception nouvelle du pouvoir et de l’état
La royauté carolingienne est une démocratie dans laquelle, celui qui a vocation à être empereur investit de son pouvoir par dieux. Cette royauté est également l’héritière de l’empire romain. c’est la raison pour laquelle, la royauté va restauré le titre d’empereur. Pour affirmer cette nouvelle conception du pouvoir, les carolingiens n’hésite pas à utilisé les pratique tel que la respublica.
A - La conception chrétienne du pouvoir
Pépin, aux yeux de beaucoup, est un usurpateur. Il est élut mais n’est pas un mérovingien. Il va alors avoir recours à un rîte religieux, le sacre dont son origine est juive. C’était le symbole de l’origine divine de leur pouvoir. C’était un institution qui était réapparut à la fin du VIIe siècle, chez les visigoths. Il se fera sacrer une première fois à soisson par les évèques du royaume et une deuxième par le pape en compagnie de ses deux fils à saint-denis. Le pape interdit aux francs de choisir leur souverain que dans la famille de Pépin. Le pape fonde alors une nouvelle dynastie qui deviendra héréditère. Ce sacre symboliquement à l’avantage qu’il donne à Pépin Le bref une place extrémement singulière. Le sacre fait du roi l’élut de Dieu.
B - La restauration impériale
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