Devoir 2 management

Question 1:

D'après la théorie de Likert, Marie-Louise exerce un style de direction autoritaire. Et d'après la théorie de Blake et Mouton, elle exerce un style Taylorien (9/1). D'après la théorie de Likert, Jean-Charles exerce un style consultatif, en effet cette dernière consulte et demande l'avis aux salariés. Et d'après la théorie de Blake et Mouton nous pouvons dire qu'il exerce un style 5/5, ce qui veut dire équilibré. Jean-Charles est soucieux de leur bien-être et épanouissement des salariés

Question 2

Les domaines d'activités de l'entreprise Numéri Perf sont les suivants: La conception de logiciel informatique pour les PME, TPE, le service après-vente, c'est -à- dire le service fourni après l'achat des logiciels par le client, et pour finir un accompagnement comportement de la formation des salariés au fonctionnement des logiciels informatiques.

Question 3

Au cours des 10 premières années, les choix de Marie-Louise et Jean-Charles prenaient en compte les attentes des parties en. Ils avaient également une bonne relation entre eux, les salariés avaient le droit à de nombreux avantages comme des hausses de rémunérations régulières, des horaires modulables. Les actionnaires étaient également conquis, 1/3 des bénéfices sert à l'autofinancement de l'entreprise. L'entreprise au cours des 10 premières années génére des profits. La clientèle quant à elle a été très satisfaite car Numériperf proposait un excellent service.

Avec tous ces éléments nous pouvons donc dire que Marie-Louise et Jean-Charles prenaient en compte les attentes des parties concernées

Question 4:

La prise de décision de Marie-Louise concernant le recrutement de Jérôme illustre bien un comportement fondé sur la rationalité limitée car La dernière a eu peur d'une baisse de rentabilité chez Numéri Perf, donc décidé sans consultation de ses collaborateurs, avec sa propre base.

Question 5:

Les principaux problèmes de gestion sont les suivants: -Le comportement de Marie-Louise qui dirige seul sans consulter personne ni même Jean-Charles, son co dirigeant. Un gros manque de communication -Les mauvais choix de Marie-Louise La démotivation de Jean-Charles s’est traduite par la cession de ses 21 %d’actions alors que Marie-Louise détient 30 %.

Lorsqu’ils détenaient à eux 2 51 % du capital, les 2 fondateurs disposaient

ensemble d’une majorité absolue qui leur permettait le contrôle effectif des

décisions stratégiques de l’entreprise.