Approche scientifique du phénomène criminel: l'observation de la criminalité
Par Ninoka • 24 Juin 2018 • 2 277 Mots (10 Pages) • 758 Vues
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La decision rendu par juridiction penale =) sont les poursuites , ce sont des decision pour crimes / délits et contravention
On donne bcp d'info sur les infraction condamné dans les stats judiciaires
Lors de condamnation penales =) les stats judiciaires ont un ordre qualitatif avec cate d'infraction
Mais on a aussi des info sur les personnes condamnés, on mesure aussi le nbre de condamnation par juridiction penale =) CRIMINALITE LEGALE cad ensemble de juridiction et est tj inferieur a la CRIMINALITE APPARENTE
C'est ce qu'on appel le chiffre gris
III/ Les stats pénitentiaire:
Données fournies par une administration particuliere au sein du ministere de la justice
Role: Gérer les etablissement penitentiaire et execution des peines
Ancienne: 1854 =) " Rapport du directeur de l'admin pénitentiaire" publié tous les ans "Rapport annuel d'activité" publié de 1854 à 2003
Abandon en 2003
Population pénale: dans les données stats
C'est un chiffre qui varie depuis 20-30 ans cad superieur aux pces dispo (environ 60 000)mais aussi le nbre d'année de détention
3 constantes:
- surpopulation masculine (jeune, mineurs, jeunes adultes)
- info des exe de peines non privative de liberté =) TIG
- aucune stat permet de savoir les infractions commises
Sont difficilement comparable entre elles =) creation de nvelle infractions
Dans l'ancien code penal de 1804 =) 300 sanctions =) inflation penale: le pv public se rend compte qu'il a ete trop loin=) il faut codifier les infractions cad on les passe de crime a délit
C'est la correctinalisation légale cad creation de nvelle cate, le juge modifie la qualification données par la loi
La tentation est comparé entre stat judiciaire et policier car elle est specialisé a chaque dept =) on les comparent
L'element parasite est l'efficacité policiere =) MONTARDET en 1996 " Ce que fait la police"
des resultat incoherent en comparent 2 dept different la delinquance vareie differemment entre les 2 dept =) meme situation cad une rumeur de fermeture de commisariat =) un commisariat ne fait rien et l'autre observe qu'il y a de la delinquance
Des 2005, L'OND souligne la nécessité d'une approche multisources pour la delinquance =) autre instrument
Section 2→les autres instruments d’observation
§1- les enquêtes d’auto-confession
On va interroger un groupe de personnes en leurs demandant de révéler si ces personnes ont commis des infractions. Révélation qui sont confidentielle/ anonyme. Enquêteur doit garantir l’anonymat. Une fois les réponses obtenues les résultats peuvent être comparer puisque on peut essayer de voir si le nombre de l’infraction révéler est plus important que le nombre d’infraction de la police. Ce type d’enquête nous vient des USA, aujourd’hui encore elles sont surtout utilisées dans les pays anglo-saxons, bcp moins en Europe. Elles aboutissent toujours à des résultats très comparables.
Exemple : on peut citer l’étude de WALLERSTEIN et WYLE publié en 1947. Etude qui à porter sur un échantillon de 2000 personnes qui n’avais jamais eu affaire à la justice pénale, a ces personnes on a soumis une liste d’infraction (49) et ont leurs à demander d’indiquer si elles avaient commis l’une de ces infractions et de préciser si les autorités avaient été informer de cette infraction. Tout le monde ne va pas répondre. L’étude montre que 90% des personnes interroger révéler avoir au moins commis 1 infractions.
Deux québécois →FRECHETTE et LE BLANC réalise depuis1967 sur la criminalité caché des adolescents. Dans les quatre enquêtes réalisées il ressort qu’en moyenne 72% des ado interrogés admet avoir commis une infraction au court de l’année précédent l’enquête alors que les ado québécoi ne représente que 2,5% des ado sont mis en cause. On considère de nombreux élément nuise à la fiabilité de ses enquêtes. On constate que bien souvent les enquêtes qui ont pu être réaliser porter sur des groupes de personnes qui n’été pas forcement représentative. Toutes ces enquêtes enregistrent un pourcentage de personnes qui avoue avoir commis une infraction or des personnes n’avoue jamais. Les personnes interroger ont tendance à grossir leurs infractions et à révéler des actes qui n’ont jamais eu lieu. Il faut bien admettre que ses enquêtes réussissent à confirmer que les stat policières ne sont pas juste. Enquête d’auto confession sont aujourd’hui rarement utilisé pour mesurer le chiffre noir on les utilise d’avantages pour évaluer la carrière criminel d’un individu c’est à dire les risques de récidives et les réponses pour éviter cette récidive. Echelles actuarielles.
§2- les enquêtes de victimation
Interroger un groupe de personne en leur demandant si ils ont subies des cartes de délinquances. Dans ce genre d'enquête on leur demande également de préciser si ses individus ont porté plainte et si elle ont pas porter plainte, pourquoi ? Ce genre d'enquête peut présenter plusieurs intérêt, elle permet d'évaluer la délinquance cacher et ceux en comparant les résultats de ces enquêtes avec les statistiques policiers et les infractions enregistré. Mais ce genre d'enquête peut permettre aussi pourquoi certaine personne qui se considère victime ne porte pas plainte. Enfin on peut aussi évaluer le profil, la situation d'une victime, elle vont présenter un intérêt qui est la victimologie. Elle sont aujourd'hui annuel et très réguliers, aujourd'hui et depuis 1973 elles sont systématiquement combines avec les donnes policière américaine. Au niveau fédéral les instituons publié chaque années le « national crime victimisation survey » enquête fait sur un échantillon d'environ
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