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Le niveau stratégique de l’entreprise, par son contrôle global, n’a pas su répondre à la demande de la clientèle de lui offrir des produits de différentes qualités. Par son manque de vision à long terme du développement de la marque et de nouveau produit, l’administration vient influencer les profits à la baisse.[pic 2]

Mise en marché : La mise en marché représente la manière qu’on s’y prend pour vendre notre produit. Qu’il soit bon ou mauvais, il doit y avoir une mise en marché dédié à tous les types de produits. La mise en marché est véhiculée par un plan de gestion de marketing. La deuxième situation problématique que je remarque dans cette étude de cas est spécifiquement la façon dont on effectue la mise en marché des produits chez La Société Moderne. Elle représente une situation problématique d’ordre administratif puisque c’est un choix de gestion qu’ils ont fait au niveau de marketing et des ventes.

La manière qu’on utilise pour vendre doit être de concert avec le besoin de la clientèle. Le produit doit être présent et disponible physiquement et varié par ses différentes qualités lorsque le client le désire. C’est ce qui cloche dans cette entreprise au niveau des ventes. La cause vient du fait que le produit est disponible principalement par catalogue et n’est pas présent physiquement en magasin. Elle a pour conséquence que le client n’a d’autres choix que de retarder son achat ou doit, le cas échéant, se rabattre sur un autre produit. Pour certaines gammes de produit spécialisées, la vente par catalogue pourrait être valable. Ce n’est pas le cas pour les produits de robinetteries fabriqués par l’entreprise qui effectue ces ventes principalement dans les grands magasins de détails, les quincailleries et les plomberies.

Le rendement des employés : Le niveau d’intervention relève ici du fait opérationnel car c’est à ce niveau que l’on exécute les décisions pris par les supérieurs. Le partage de l’autorité dans l’entreprise semble être centralisé et empêche la masse inférieure de la pyramide opérationnelle de prendre toute forme de décision et d’initiative. Celle–ci facilite la gestion sur plusieurs formes; de l’information, la mise en place de politique et permet de mieux gérer les différents groupes de travail. Par contre, elle n’encourage pas la prise de décisions par les employés de premier niveau, réduit la marge de manœuvre au gestionnaire en place, empêche l’innovation et la créativité, ne permet pas les comparatifs entre département, réduit la motivation, ne permet pas à l’entreprise de s’adapter aux différents changements, ne facilite pas la diversification des produits et services et l’employeur a tout le fardeau des décisions.

Il y a 4 grandes lignes problématiques lorsqu’on fait l’analyse du sondage. Ce sont le manque de communication des objectifs de l’entreprise, les opportunités personnelles d’efficientes, le manque de variétés dans le travail ainsi que la supervision excessive. Toujours selon le sondage, le manque de motivation des employés semble venir du fait que les besoins de réalisation ou d’accomplissement ne sont pas assez significatifs car les gens désirent davantage de responsabilités. À la question, «Mon travail me permet-il de fixer mes propres objectifs de performances » 88% ont répondu être insatisfait ou parfois insatisfait et 81% désirent « avoir plus de latitude pour fixer leur propres objectif. »

Autre fait majeur relié à la motivation, 92% ont répondu que « leur superviseur est parfois ou souvent trop exigeant » et 88% ont déclaré «avoir un travail qui ne requiert que très peu de supervision ». Autre fait alarmant, 85% déclarent « qu’il ferait un meilleur travail sans la présence de supervision ». Est-ce qu’il a trop de supervision dans cette entreprise. Poser la question c’est y répondre. La façon de gérer «coûte que coûte» pose un problème majeur dans cette entreprise et créer par des procédures trop rigides qui empêchent le développement et la responsabilisation de l’employé. Elle crée un frein à l’épanouissement des employés plutôt qu’à son éclosion. Étant donné que les objectifs de la compagnie ne semblent pas être très bien communiqués, que les règles sont trop strictes, et qu’un manque d’occasion de réalisation personnel a pour conséquences un manque de motivation généralisé. Le manque de motivation entraine un taux d’absences élevés ainsi qu’une baisse de la productivité global et des rendements. L’ensemble de ces facteurs diminuent la profitabilité de l’entreprise. Lorsqu’il a une perte de motivation, le cycle de la mauvaise communication s’accentuera puisque les messages des gestionnaires ne passent plus et la crédibilité est difficile à rétablir. Les mécanismes de coordinations semble miser sur des règles et politiques trop strictes pour les employés qui eux, mit dans des contextes d’activités routinière créent comme conséquence des dysfonctions opération-[pic 3]

nelles et ainsi que des problèmes de relation de travail. Après avoir effectué une lecture exhaustive du sondage sur l’attitude, j’ai pu constater que les employés sont très mobilisés envers leur travail car ils désirent avoir davantage de responsabilités. L’objectif de l’organisation ne semble pas être assez connu des employés qui en veulent davantage pour améliorer leur travail. Il semble avoir à cœur la réussite de la compagnie. De haute exigence, de la part de la supervision, semble déranger dans l’ensemble des travailleurs et est révélateur sur la suite des décisions à prendre pour mobiliser les gens sur leur travail.

L’autre problème majeur qui influence la mise en marché des produits est la vente effectué par un grossiste. Le fait que les ventes soit assurés principalement par un tiers qui vend une panoplie d’articles n’aide en rien à l’augmentation des ventes. Elle a pour cause que les grossistes vendent des produits de la compagnie ainsi que de d’autres fabricants. Il ne fera pas nécessairement la promotion seulement de leurs produits lors de ces ventes mais bien de l’ensemble de son catalogue. Ceci aura pour conséquence de mettre en compétition directe les produits de La Société Moderne avec ceux du conçurent. En résumé :

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La baisse des profits est encore affecter par la mise en marché déficiente. Le principal problème demeure encore l’administration qui n’a pas su ajuster son niveau stratégique de son plan marketing.

Question 3 : Le rendement des employés doit être amélioré. Cependant, ce n’est pas seulement en leur