Travail note 2
Par Christopher • 7 Février 2018 • 1 096 Mots (5 Pages) • 446 Vues
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de gestion, nous pouvons exploiter notre célèbre créativité pour pouvoir atteindre des territoires internationaux, donc baisser les prix sur nos produits vendus ici. Nous pouvons également profité du faible taux de change du USD pour exporter le plus possible. Présentement, les entreprises produisant des vêtements féminins canadiens savent que si elles veulent survivre, elles doivent dépendre de leur reconversion dans des productions plus spécialisées ou en plus petites séries comme Angela Bucaro Design.
Question 2
Nous pouvons constater qu’acheter tous les produits du textile au Canada est une bonne façon d’éviter que notre pays ne souffre de la mondialisation. Même si ça peut coûter un peu plus cher de s’approvisionner ici, les personnes travaillant dans l’industrie du vêtement devraient faire chacun leur part à ce niveau. C’est sûr que c’est tentant d’acheter des tissus dans un pays où les employés sont sous-payés et maltraités, tout ça parce qu’ils réussissent à économiser un peu d’argent, mais est-ce moralement justifié de suivre le courant à ce niveau?
Un gros problème ici au Canada est que nous pouvons observer un immense retard au niveau technologique. Nous ne manquons pas de talent dans les designers de tissus mais puisque notre technologie existante de leur permet pas, ils ne peuvent prouver leur valeur. Il faudrait que le gouvernement donne plus d’argent pour que ce volet soit amélioré. Nous ne doutons pas que plusieurs organisations doivent demander depuis longtemps des subventions aux deux gouvernements mais il faudrait que ça bouge maintenant sinon bientôt le Canada ne sera reconnu que pour l’art inuit et le sirop d’érable.
Nous pouvons dire que pour éviter les dangers mentionner ci-haut, Angela Bucaro se débrouille pour en faire le plus possible elle-même. Elle se simplifie la vie en exploitant le plus possible ses aptitudes et celles de ses employés pour lui éviter les complications des coûts supplémentaires et l’importation de produits. Puis ce n’est qu’en dernier recours qu’elle va faire affaire avec un sous-traitant.
Plus tard, elle aimerait créer d’autres collections qui pourraient habiller hommes, femmes, enfants et une gamme d’accessoires. C’est sa façon à elle de passer les lignes de notre beau pays par tous les moyens possibles. Nous croyons qu’en faisant cela, elle a plus de chance de vendre et de se faire découvrir.
Concrètement, Angela Bucaro réalise cette stratégie en effectuant elle-même, à l’intérieur de l’entreprise, le design de la collection, la fabrication des patrons et leur gradation, la production des échantillons et l’entreposage des vêtements. Les collections d’Angela suivent toujours les grandes tendances de la mode internationale mais toujours de manière simplifiée, épurée, ce qui leur donne un caractère classique qui ne se démode pas. En bref, ses clientes peuvent porter un morceau de ses vêtements pendant des années sans avoir peur qu’il se démode. Les vêtements réversibles font en sorte qu’elle peut vendre ses morceaux un peu plus cher, sans avoir à dépenser pour du tissus et du design supplémentaire.
Finalement, cette jeune designer s’approvisionne en matières premières auprès de manufacturiers canadiens. Même si ça prend plus de temps pour obtenir ses tissus, elle choisit d’acheter environ 80 à 95% de tissus canadiens. De plus, elle dessine ses propres motifs, choisit les fibres et les fait fabriquer, comme ça elle n’a pas besoin d’aller en choisir ailleurs et de les importer. C’est sa façon à elle de lui éviter des coûts et
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