Td management cas
Par Junecooper • 22 Mars 2018 • 1 307 Mots (6 Pages) • 596 Vues
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On ne peut pas appliquer le mapping pour le coffee bar.
Question 3 : Les modifications majeure liées au coffee bars est que déjà on a une nouvelle manière de concevoir les cafés en tant que lieu (lieu à thème par exemple) et le café en tant que boisson. L’idée avant du café classique était que cela nous faisait une pause dans la journée et on reprend le cours de la journée alors que quand on va dans un coffee bar, on peut se poser pendant deux heures, dans une atmosphère. Le café en tant que boisson car se sont les premières chaines de café qui mettent l’accent sur le café. C’est toute l’offre qui est recomposé. C’est très différent, très spécialisée, on est sur un mouvement de spécialisation du café.
Question 4 : Bar à champagne, bar à sourire, bar à oxygène, bar à chat (lol) ; bar à spécialité. Mouvement de spécialisation. On peut attendre une poursuite du mouvement de spécialisation. C’est ce qui fonctionne bien aujourd’hui.
Document 3 :
Question 1 : Un facteur qui peut expliquer la diminution de la consommation de la viande bovine est la montée des préoccupation à l’égard du bien être des animaux (par exemple les végétariens), montée des préoccupations d’ordre diététique et de santé car la viande rouge, dont le bœuf, est réputée pour être beaucoup plus riche, c’est plus gras et il y a beaucoup plus de toxine. Santé par rapport à la vache où là c’était grave car si on mangeait de la mauvaise vache on était mort. Souvent, la viande de bœuf est remplacée par la viande blanche. Avant, la viande blanche était considéré comme de la viande de pauvre. Remplacement par le poisson aussi. Pendant longtemps, le transport de poisson n’était pas évident, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui. On a une plus grande variété d’élément à disposition.
Evolution par rapport aux modes de vies. Les personnes optent plus pour des plats cuisinées, en lien avec l’urbanisation et surtout avec le travail des femmes. Moins de temps pour faire la cuisine. De manière générale, on prend moins de temps pour manger. On se réserve la viande pour les repas en famille le dimanche.
La pénibilité au travail qui est beaucoup moins important. Avant, on travaillait à l’usine ou champ donc dépense calorique importante alors il fallait mieux manger.
Question 2 : La communication avec l’image de marque, et l’innovation. C’est très malin de leur part car en période de crise, les entreprises ne font pas de communications. Or, celle qui continue à communiquer sont celles qui souffrent le moins. Charal a donc fidéliser ses clients et les à rassurer. Charal ne vend que des vaches à lait qui ont été très bien nourris donc qui est très tendre et savoureuse, beaucoup plus que les vache à viande. Ils axent aussi sur le fait qu’ils se fournissent en France. Ils ont réussi à faire de leur marque une caution cad la marque Charal est aussi forte, voir plus forte, qu’un certificat de qualité. Ils refusent de faire parti d’un label officiel.
L’innovation car Charal a anticiper beaucoup des tendances citer dans la question précédentes en créant la plupart des sous segment du marché de la viande bovine avec les plats cuisinés, le prêt à manger… Du coup, quand il y a eu la reprise, ils étaient leader dans chacun des sous segment.
Accent sur la qualité, marque qui sert de référence.
Question 3 : L’intensité concurrentielle est forte car il y a quand même par mal d’offreurs (comme les bouchers qui vendent beaucoup de bœufs).
Menace de nouveaux entrants : plutôt faible.
Produit de substitution : forte.
Pouvoir de marché des clients : Moyen car à la fois il y a beaucoup de produit de substitution mais on est quand même attaché à la consommation de viande de bœuf. Fait partie de la tradition culinaire.
Fournisseur : faible à moyen. Il y en a pas mal de fournisseurs. C’est un produit qui n’est pas différencié.
L’Etat : Moyen car il y a de la règlementation, il y a des contrôle. Il n’y a pas de fiscalité spécifique. Contrôle de traçabilité.
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