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Management cas GDF

Par   •  2 Novembre 2018  •  1 050 Mots (5 Pages)  •  1 196 Vues

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Parties prenantes secondaires : L’ouverture à la concurrence a commencé dès 1999 pour les entreprises très consommatrices d’énergie (consommation supérieure à 100 gigawatt par heure GWh) Cependant, il n’y a pas une menace réelle à la survie de l’entreprise. C’est surtout un pouvoir d’influence, mais l’Etat, étant majoritairement actionnaire, le poids des actionnaires individuels est négligeable.

Carte des parties prenantes entre 2000 et 2004

Parties prenantes primaires : Ce sont les même qu’avant 2000

Parties prenantes secondaires : A partir de l’année 2000, le marché gazier a été ouvert à la concurrence pour les clients professionnels. Ainsi, les concurrents de GDF sont devenus des parties prenantes de l’entreprise. Néanmoins, leur impact est resté limité, c’est pourquoi les concurrents sont restés des parties prenantes secondaires entre 2000 et 2004.

Q3) Dressez la carte des parties prenantes de GDF après 2004 en distinguant, parties primaires et secondaires. Vous commenterez les changements intervenus avant et après 2004.

Parties prenantes primaires : Les actionnaires sont devenus des parties prenantes primaires de l’entreprise car le capital de GDF a été ouvert à des actionnaires tiers tels que les salariés ou des particuliers. Leur rôle de financement (entre autres) est donc essentiel à la survie de l’entreprise. Néanmoins, l'État français ayant 80% du capital social de GDF, l'intérêt des actionnaires serait plutôt la continuité de GDF, et non la prise des risques. Les efforts de GDF vis-à-vis ses actionnaires seront donc minimums. Les actionnaires qui ont un intérêt perçu élevé vont être gardés informés, mais pas plus que cela.

Par contre, les producteurs sont, à partir de 2004, devenus des joueurs-clé, vu que leurs intérêts perçus étaient élevé (GDF restant le plus important fournisseur de gaz français), ainsi que l'intérêt perçu de GDF (ses producteurs ayant désormais un pouvoir de négociation assez important). Jusqu'ici, les parties prenantes de GDF laissent l'entreprise tranquille. Cependant, ces parties prenantes peuvent, à moyen et long terme, augmenter leur force.

Parties prenantes secondaires : En France, le marché de l’électricité et du gaz est ouvert à la concurrence depuis le 1er juillet 2007 pour les particuliers. La concurrence se fait aussi au niveau européen, par exemple le groupe belge Electrabel. Gaz de France a 50 244 collaborateurs en 2006. La société anonyme a des partenaires industrielles et universitaires pour la recherche. Elle collabore avec SUEZ pour devenir GDF SUEZ puis Engie. Les militants politiques influences indirectement l’Etat et GDF. Au niveau de la société, les parties prenantes sont l’ASPI Eurozone, le Baromètre Efficience, le Conseil supérieur de l’ordre des experts comptables, l’Autorité des marchés financiers AMF, la Commission de régulation de l’énergie CRE, l’agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie ADEME, WWF France (fonds mondial pour la nature), UFC que choisir et Greenpeace. Au niveau des partenaires financiers on compte les analystes, les investisseurs, les agences de notations, et les actionnaires.

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