Essays.club - Dissertations, travaux de recherche, examens, fiches de lecture, BAC, notes de recherche et mémoires
Recherche

Commentaire de Texte Jean Venette, Chroniques.

Par   •  5 Juin 2018  •  911 Mots (4 Pages)  •  1 142 Vues

Page 1 sur 4

...

les femmes étaient reconnues aptes à succéder et certains royaumes étrangers avaient à leur tête une femme, mais Philippe avait alors réunis une assemblée de barons et de bourgeois qui avaient décidés que « femmes ne succèdent pas à la couronne de France » et en 1316 les ecclésiastiques avaient suggérer à la vue de ce refus des arguments religieux tirés de la royauté, selon eux si les filles sont repoussées de la couronne c’est en raison du sacre dont la vertu infuse au titulaire de la fonction royale un caractère quasi sacerdotal, une femme ne peut pas être prêtre elle ne peut donc pas être à la tête du royaume, la garde du royaume ne peut donc pas être confiée à une femme par les principes de 1316.

II- Un nouveau principe de succession : l’exclusion par les femmes :

A- Les prétentions du roi d’Angleterre :

« La polémique devait se poursuivre » les prétentions d’Edouard 3 sont fondée sur la proximité de degré par rapport au roi défunt et en théorie Edouard est le plus proche parent. La première hypothèse consiste à privilégier Isabelle mais celle-ci ne peut pas succéder car c’est contraire à la coutume mais ne peut-elle pas transmettre le droit à succéder auquel cas ce droit profiterais à son fils. Dans cette hypothèse la couronne de France passerait sur la tête du roi d’Angleterre hors Jean de Venette affirme « les français … l’Angleterre » en effet il existait à cette époque une identité suffisamment forte du royaume de France pour que soit repoussé un monarque étrange dans le cadre de l’accession au trône.

B- Exclusion des descendants par les femmes.

Afin d’écarter le danger on veut faire appel à Philippe le Valois plus proche héritier par les femmes mais il fallait accepter par la branche collatérale. Les partisans de la royauté masculine disaient qu’Isabelle, exclu de la succession royale, n’avait donc pas de titre, cela entraine l’inexistence d’une transmission à son fils, cependant dans certaines coutumes médiévales, une femme peut servir d’intermédiaire pour faire acquérir à un tiers des biens ou des droits qu’elle n’a pas elle-même. Philippe de Valois qui assure la régence va soumettre la question de la succession à une assemblée de prélat pour se faire sacrer roi en 1528

Risque de la guerre entre les anglais et les français quelques années plus tard

...

Télécharger :   txt (5.6 Kb)   pdf (43.6 Kb)   docx (12.3 Kb)  
Voir 3 pages de plus »
Uniquement disponible sur Essays.club