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Cas pratique sur le Président de la République.

Par   •  29 Mai 2018  •  2 633 Mots (11 Pages)  •  505 Vues

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institutions. Comme dit dans l’article que nous étudions, l’article 16 de la constitution n’ à été utilisé une seule fois, en 1961 (et non pas 1964) par le Général Charles (et non pas Jacques) de Gaulle lors des événements d’Algérie (et non d’Indochine). En effet le Général de Gaulle décide d’appliquer l’article 16 en raison du putsch (coup d’État organisé par des militaires) de 4 Généraux français, qui considéraient la politique choisie par Charles de Gaulle comme une politique d’abandon de l’Algérie Française.

Le général de Gaulle c’est posé la question de réutiliser l’article 16 lors des événements de mai 1968.

Ces protestations sont celles des agriculteurs et des marins pêcheurs car le Président de la République leurs aurait ordonné « de faire fonctionner au prix de multiples frais, leurs tracteurs et bateaux à l’énergie électrique, le diésel étant jugé trop polluant ». Il y eu en effet plusieurs fois au cours de de la Vème République une gréve des marins pêcheurs. Comme en 2007 ou il y eu des manifestations dû a une hausse du carburant. C’est en 1994 ou il y eu de fortes violences et des gréves massives dans trois départements Français a savoir la Manche, la Bretagne et la Vendée. Ces violences ont été tellement importantes que le Parlement de Renne a été brulé. Mais ces violences et gréves massives n’étaient pas au sujet des énergies.

L’auteur de l’article dit ensuite que le Président Jacques Chirac décide de changer de premier ministre avant les élections législatives de mi mandat. En effet, en 1997, Jacques Chirac nomme Lionel Jospin a la place d’Alain Juppé, puis en 2005 Dominique de Villepin a la place de Jean-Pierre Raffarin. Mais il n’y a pas d’élections législatives de mi mandat de prévu. Vu qu’un mandat présidentiel est a l’époque de 7 ans et qu’un mandat a l’assemblé national est de 5 ans il y avait des élections législatives pendant le mandat présidentiel en cours. Mais il y eu belle et bien des élections législatives en 1997, en effet Jacques Chirac alors Président de la République à dissous l’Assemblée National après l’adoption d’une motion de censure (moyen dont dispose un Parlement pour montre sa désapprobation envers la politique du gouvernement). La gauche ayant gagné ces élections, Lionel Jospin devient premier ministre. C’est une cohabitation (Le premier ministre et le Président de la République ne sont pas du même parti).

Dans l’article, le Président de la République aurait utilisé l’article 18 de la Constitution (qui lui permet de communiquer au Parlement par des messages lus par le Président du conseil), pour expliquer son choix de changer de premier ministre. En effet le Président Chirac a bien utilisé l’article 18 a trois reprises en 1995, 1999 et 2002. Mais pas pour s’expliquer au sujet de son changement de premier ministre qu’il a fait en 1997 et 2005. Depuis le quinquennat de Nicolas Sarkozy, le président peut se rendre devant les deux assemblés du Parlement réunis en Congrès mais pas au Parlement. Ce Congrès se réuni a Versailles.

Cet article qui cherche a montrer l’échec de la politique présidentielle est très contestable sur la forme comme sur le fond. On passe d’une idée à une autre sans liens et d’un mandat présidentiel a un autre sans explications. Il y a des erreurs de vocabulaires et des maladresses d’écritures (il est dit que la première faute du Président de la République a été de ne pas avoir su endiguer d’importantes émeutes puis il est dit de nouveau que la première faute du Président de la République a été d’accepter au gouvernement les membres du parti X ayant fait 2% des voix aux dernières élections). De plus il y a un manque de clarté car ces deux événements ne se sont pas passés pendant le même mandat. A de nombreux moments on ne sait pas a quelle période se situent les événements (aucunes informations de date au sujet des gréves des agriculteurs et des marins pêcheurs a cause de l’obligation d’utiliser l’énergie électrique). Plusieurs dates sont fausses, on ne sait pas la plupart du temps de quel Président on parle, et l’article ne répond pas de façon claire et explicite a la question posé en introduction, a savoir: « pourquoi cet échec de la politique présidentielle ? ».

Article 2:

Dans le second article il est dit que l’on s’intéresse aux élections présidentielles de mai 2010. Or il n’y eu pas en 2010 d’élections présidentielles en France. Les dernières élections présidentielles datent de 2012, 2007 et 2002. En mars 2010, ce sont des élections régionales qui ont eu lieu.

Il est donc expliqué que pour l’élection présidentielle, cinq personnes ont réussi à réunir les 700 signatures requises pour pouvoir déposer leur candidatures et ainsi ce présenter. Mais actuellement, il est demandé 500 signatures d’élus tel que des maires, des députés, des sénateurs, des parlementaires européens, des conseillers régionaux et généraux ou des membres des Assemblées d’outre-mer pour pouvoir se présenter. Ce système des parrainages a été instauré en 1962 lors que nous sommes passé d’un suffrage indirect a un suffrage universel direct. Le but était de limiter le nombres de candidats a l’élection et d’éviter une candidature « fantaisiste » (en 1965, un candidat sans grande expérience politique se présente, Marcel Barbu. Il se considère comme le « candidat des chiens battus », il manquera de fondre en larme lors de l’un de ces discours télévisé). Au début, pour pouvoir se présenter les candidats devaient obtenir 100 signatures. Mais en 1976, une réforme pour éviter l’augmentation constante du nombre de candidats a augmenté le nombre de signatures de 100 à 500 et provenant d’au moins 30 départements différents (avec 50 signatures maximum par départements). Une nouvelle réforme a cette année de nouveau modifié les règles de parrainages, tous les noms des élus ayant donné leur parrainage a un candidat serons publiés ce qui fera que de nombreux élus pouvant donner leurs signatures ne le feront pas par crainte que leurs électeurs n’apprécient pas leur choix de parrainage pour la présidentielle.

Il est ensuite, dans l’article, annoncé les résultats du premier tour. Aucun des candidats n’ayant obtenu une majorité absolue, ils aura donc un deuxième tour. L’auteur dit que personne ne peut savoir qui sera au second tour, or selon l’article 7 de la Constitution les candidats ayant le droit d’accéder au second tour sont les deux candidats ayant obtenu le plus de voix au premier tour, c’est a dire monsieur B (300000

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