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Premier cas

Question 1

1a) Types de gouvernance

Gouvernance d’entreprise : Ce type de gouvernance est défini par le droit de contrôle que sont censés exercer les actionnaires sur les dirigeants de leur entreprise. C’est le sens qu’on lui donne en finance ou en droit. En pratique, il s’intéresse à la définition et à l’exercice des responsabilités du conseil d’administration et de la haute direction. La notion est parfois étendue à l’ensemble de la chaîne hiérarchique. Au sens large, le concept de gouvernance s’étend au droit de contrôle que peut pratiquer l’ensemble de la société sur les activités des entreprises. En résumé, la gouvernance d’entreprise se définit comme l’ensemble de règles et lois que les principaux actionnaires décident d’adopter afin de combler leurs intérêts.

Gouvernance sociétale : Dans une large mesure, le concept de gouvernance sociétale est en contradiction avec celui de gouvernance d’entreprise. Alors que ce dernier cherche à valoriser les mécanismes du marché, le premier s’en méfie. La gouvernance sociétale doit tenir en compte son milieu et environnement pour bien l’orienter. L’entreprise a besoin de trois mécanismes pour bien fonctionner au sein de la société. Ces mécanismes sont le marché, le contrôle social de l’État et la conformité de l’entreprise face à la société où elle évolue.

1b) Démontrez en quoi « Computer Associated » a failli au respect de chacun de ces types de gouvernances.

Dans le cas présent, Computer Associated a failli à la gouvernance d’entreprise parce que ses dirigeants ont abusé de leur statut et de leur pouvoir. La haute direction n’a pas fait preuve de transparence et il y a eu un manque d’étique en agissant frauduleusement et quand Computer Sciences Corporation a intenté une poursuite envers Computer Associated, les principaux actionnaires de Computer Associated auraient dû réagir afin de mieux contrôler non seulement leurs intérêts, mais ceux de Computer Associated.

Deuxième cas

Question 2

2a) Les trois approches éthiques sont : les théories déontologiques, l’utilitarisme, et les droits naturels.

La théorie déontologique : quand on parle de déontologie, on parle de règles préétablies, de valeurs, des lois et règlements qu’on doit respecter.

L’utilitarisme : l’utilitarisme est défini comme doctrine en philosophie politique ou en éthique sociale qui prescrit d'agir (ou de ne pas agir) de manière à maximiser le bien-être collectif, entendu comme la somme ou la moyenne de bien-être (bien-être agrégé) de l'ensemble des êtres sensibles et affectés.

Les droits naturels : on appelle droits naturels le droit à la vie, le droit à la liberté et le droit à la propriété. L’approche des droits naturels consiste à donner à chaque individu le libre choix de décider selon leur jugement.

2b) L’approche éthique de Schrage porte sur l’utilitarisme de l’action. Il affirme que dissimuler le congédiement des employés à la fin de leur contrat est un geste acceptable et nécessaire pour l’entreprise. Il est utile pour l’entreprise ne pas divulguer ces informations sensibles. Selon l’approche éthique de Renouard, tous les moyens ne sont pas nécessairement bons pour arriver aux objectifs de l’organisation. Le but de l’approche de Renouard est de ne pas dépasser certaines limites pour y arriver. Dans l’étude de cas présente, le dirigeant cache le congédiement de ses employés pour qu’ils continuent à être productifs. Selon ces deux différentes approches, le problème à l’étude n’aurait pas été traité de la même façon. Schrage trouve acceptable et profitable pour l’entreprise de congédier des employés, Quant à Renouard, il aurait sûrement expliqué la situation aux employés et les aurait motivés à accepter le congédiement en échange d’une compensation quelconque. L’opinion des lecteurs est en faveur de l’approche de Renouard. La majorité des lecteurs pensent qu’avoir dissimulé le congédiement des employés est inacceptable et que la confiance entre les deux parties est compromise. Ceci peut avoir des effets néfastes à long terme dans le climat de travail et l’environnement de l’organisation.

Question 3

On peut associer cette intervenante à l’approche éthique stratégique. Dans le monde des affaires en anglais, il existe une expression qu’illustre bien l’approche de l’intervenante en question dans ce cas. Cette est expression est la suivante : « Good Ethics is Good Business ». Selon Renouard et Baase, la croissance dans une entreprise est importante, mais on ne peut l’atteindre à n’importe quel prix. C’est dans le même ordre d’idées que l’intervenante en question.

Troisième cas

Question 4

4a) J’ai choisi la ligne directrice de Demander la participation des utilisateurs lors des étapes de la conception et des essais afin de leur fournir des systèmes sécuritaires et efficaces. Cette ligne directrice permettra d’éviter certaines situations fâcheuses. Il existe de nombreux exemples dans lesquels du personnel technique a développé des systèmes sans connaître les éléments importants aux yeux des utilisateurs. La responsabilité des développeurs de communiquer avec les utilisateurs ne se limite pas aux systèmes qui touchent la sécurité et la santé. Les systèmes conçus pour gérer les articles d’un site Web, l’inventaire d’un magasin de jouets ou pour organiser les documents et les vidéos sur un site Web peuvent causer des frustrations, faire en sorte que le client gaspille son argent et finir à la poubelle, s’il est conçu sans tenir suffisamment compte des besoins des utilisateurs. C’est pour cela qu’il est primordial que le client et utilisateurs participent à toutes les étapes du projet pour ne pas perdre du temps et des ressources matérielles et économiques.