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du mentorat qui permet à une personne en début de carrière de bénéficier de l’expérience et des conseils d’un mentor. Ce dernier, qui occupe généralement un poste de niveau plus haut, exerce cette fonction afin d’aider le mentoré dans la réalisation de son projet de carrière. L’organisation Torta Bianca bénéficie de plusieurs ouvriers expérimentés qui pourraient devenir mentors pour les jeunes en insertion. L’apprentissage sur le lieu de travail serait également une méthode à considérer étant donné que le travail est en majorité manuel cela permettrait aux employés d’avoir des exemples de procédures, de les exécuter et d’avoir une rétroaction. Cette dernière permet une adaptation rapide d’un emploi. Je conseillerais également la rotation des postes qui a déjà été expérimenté dans le passé. Cette mobilité favorise à la fois la motivation des employés et la connaissance de l’environnement interne de l’entreprise. Dans le cas de Torta Bianca, cette méthode n’a pas été concluante puisque les employés ne changeaient pas assez souvent de postes et certaines tâches ne peuvent être expliquées par écrit. Il faudrait donc peut-être penser à produire un horaire de changements et dans le cas des représentants des ventes, ils pourraient tout simplement transférer leurs connaissances en travaillant en équipe.

Étude de cas n° 2

Question 1

Selon moi, le problème réel qui engendre toutes les conséquences décrites par le Cabinet-conseil Pensamiento est le manque de connaissances des deux directeurs sur l’importance de promouvoir la santé au sein de l’entreprise. Ces derniers doivent comprendre que la mise en place d’un programme de promotion est essentiel et doit faire partie des stratégies d’affaires puisqu’il joue un rôle assez important sur la performance et le bien-être des employés. Les employés qui se sentent bien au travail sont plus motivés et donc par la même occasion plus performants. Le programme permettra à l’entreprise d’augmenter l’adéquation des travailleurs et l’augmentation de la réussite des objectifs organisationnels. Le programme de promotion de la santé mentale et de la gestion du stress pour l’entreprise Doctrina devrait tenir compte de toutes les recommandations du Cabinet-conseil, mais en particulier des horaires et des procédures de travail, de l’importance de la promotion de saines habitudes de vie et des bienfaits de la détente, la discussion et le partage d’idées. Tout d’abord, avec la récente situation qui s’est passé avec Odile, il est prioritaire d’établir une procédure de retour au travail. Elle a ressenti une trop grosse pression au travail, cela veut dire que la gestion des laboratoires et même la charge de travail de chaque équipe est à revoir. Il faudra donc faire un suivi de l’invalidité avec l’employé et l’assurance, revoir l’organisation du travail, modifier certains facteurs qui sont en lien direct avec la situation vécue par l’employé, permettre un retour progressif et bien l’accueillir à son retour. Il faudra également tenir compte de ses collègues qui pourrait avoir été ébranlé par cet événement. Malheureusement, vu les disponibilités budgétaires, il n’est pas possible d’offrir des programmes d’aide aux employés. Par contre il est possible de créer un espace numérique comportant des liens pour obtenir de l’information sur une multitude de sujets (suicide, violence conjugale, problème de jeu, harcèlement au travail, gestion du stress…). En second lieu, les directeurs doivent mettre en place des horaires flexibles permettant aux employés de concilier travail et vie personnelle puisque, d’après ce que l’on peut lire dans le cas de Doctrina, il y a des employés qui travaillent six jours sur sept, de 12 à 15 heures par jour. En permettant aux employés de bénéficier d’un horaire flexible cela aura un effet de diminution du stress ressentit par ces derniers. Ensuite, étant donné la compétition malsaine existante entre les équipes de chercheurs il serait bien que l’entreprise favorise les occasions de partages d’idées et de discussions informelles soit pendant les pauses ou tout simplement lors de réunions destinées à échanger sur le travail des équipes. L’aménagement d’espace de relaxation serait un avantage considérable pour favoriser ces occasions, cependant il ne faudrait pas qu’il y ait de coût relié. La promotion de saines habitudes de vie telle l’implantation d’un programme d’activité physique comme des séances de groupe gratuites animées par les employés ou un programme d’alimention suggéré serait également des bons moyens de diminuer la compétition. Cela aura également comme résultat des employés qui détiendront une bonne forme physique et mentale.

Afin d’implanter ce programme il faut d’abord le présenter aux deux directeurs et les convaincre de s’impliquer. Ensuite, en collaboration avec les directeurs, il faut mettre au point une gestion de retour au travail, déterminer les horaires flexibles possibles et enfin préparer une journée d’information pour présenter le programme de promotion aux employés. Pendant cette journée, en plus de présenter tout les points du programme, nous pourrions en profiter pour suggérer la mise en place d’un comité de santé et de sécurité ainsi que d’un comité social qui pourront travailler en étroite collaboration pour aider à la réalisation de celui-ci. La procédure de retour au travail devra être réalisé le plus tôt possible afin de régulariser la situation d’Odile. Tout le reste devra être réalisé dans un maximum de 1 mois afin d’éviter que d’autres situations en lien avec la santé mentale et le stress ne se reproduisent.

Pour que ce programme soit un succès il est impératif que les directeurs s’impliquent et qu’ils prennent ce programme très au sérieux. Il est aussi important que ces derniers prennent tous les moyens possibles dans le but d’informer et de conseiller leurs employés, mais qu’ils ne franchîssent pas la limite de leurs compétences. Il faut également responsabiliser les individus, promouvoir de façon continu la santé mentale et la gestion du stress en plus d’évaluer et de revoir régulièrement le programme. Du côté des employés, il est essentiel qu’ils demandent conseil et utilisent les moyens mis à leur disposition lorsqu’ils ressentent un problème ou ne sont pas bien pour n’importe qu’elle raison.

Selon la capsule vidéo « Une clé pour un meilleur équilibre de vie : le courage » de Mme Daigneault, l’attitude de responsabilisation est d’agir, de choisir et de bien