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Thérèse Raquin, Emile Zola

Par   •  29 Septembre 2018  •  798 Mots (4 Pages)  •  513 Vues

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mort mais vivant, cela peut être perçu grâce aux verbes d’actions le concernant, grâce a des personnifications ansi qu’a la répétition du nom “Camille”

Ainsi , on remarque que de nombreux verbes d’actions sont associes a Camille dans ce passage tels que: “Camille le regardait “ligne 2, “ grimaçait” ligne 12, “se penchait” ligne 12 , ce qui donne une impression de vie de ce dernier puisque les verbes d’actions sont normalement utilisés pour des Hommes vivants.

De plus , des personnifications comme : “ les yeux entrouverts” ligne 3, “un ricanement atroce” ligne 18 , ou encore “ une odeur acre le suivait” l’avant dernière ligne viennent renforcer cette idée de vivant, Laurent a l’impression que Camille est vivant.

Enfin, on observe aussi la répétition du nom “Camille” tout au long du texte , comme a la ligne 2, 12 ou 31 renforçant encore l’idée que Laurent ait l’impression que Camille soit vivant.

Ainsi, on peut dire que dans ce passage, Camille semble bel et bien vivant, étant donné celui ci est décrit par le point de vue de Laurent, on en conclu que Laurent a l’impression que Camille est toujours vivant .

Pour finir, on peut conclure que l’auteur décrit de façon très détaillé le cadavre de Camille, lequel est décrit par un narrateur interne qui est Laurent,

déformant donc la réalité ,mais aussi l’auteur fait paraître Camille vivant aux yeux de Laurent.

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