Le Stress

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III- Mécanismes neurobiologiques du stress dans l’organisme

Face au stress, notre corps adapte des mécanismes pour réagir à l’attaque grâce à l’instance de régulation « ego » (MOI), appelés ainsi par les psychanalystes, qui veille à rééquilibrer l’état d’homéostasie. Lorsque le stress est mineur, assimilé au stress de la vie quotidienne, nous cherchons à retrouver le comportement «mère-nourrisson », extériorisé sous forme de rire, jurons, prières, ou bien nous agissons de manière inconsciente quotidiennement. Si le stress perdure, le MOI est plus sollicité et par conséquent de nouvelles solutions sont trouvées. Le stress majeur s’établit sur 5 niveaux, commençant par de la frustration intense, jusqu’à un état d’épuisement. Dans une situation de stress, le rythme respiratoire s’accélère en fournissant oxygène à l’organisme, le rythme cardiaque augmente et les rythmes cérébraux deviennent plus rapides. L’organisme y répond bien heureusement grâce au système immunitaire cependant, un stress souvent répété affaiblit cette défense.

IV- Moyens permettant la prévention et la guérison du stress

Des solutions dites traditionnelles peuvent être utilisées pour répondre à un stress quotidien : alcool, tabac, café, sucre... Néanmoins les effets sont mitigés selon les personnes : « ne jamais oublier que la pulsion orale est plus forte que leur MOI » (J.B. Stora). Des méthodes modernes peuvent alors entrer en place : vitamines, somnifères et tranquillisants ont été adoptées par 11 millions de personnes en France, ne pouvant plus faire face au stress quotidien. Cependant, il vaut mieux prévenir que guérir, la France a accentué ses contrôles grâce à des consultations spécialisées, des questionnaires d’enquête, des séminaires de gestion de stress et enfin, grâce à de nouvelles techniques managériales de ressources humaines postées davantage sur l’humain et le relationnel, que vers une recherche omniprésente du profit.

Pour conclure, nous pouvons, à travers une généralisation, assimiler le stress à un sentiment connu de tous et dans lequel chacun peut s’identifier. Bien que les théories philosophiques et les mécanismes psychométriques me soient restés quelques fois floues, ce livre m’a réellement attiré car il m’a permis de découvrir une nouvelle facette détaillée de ce stress, notamment avec sa croissance dans nos sociétés actuelles, qui semble se développer de la même façon que le phénomène « pollution de l’environnement ». Ces conséquences négatives engendreront-t-elles de nouvelles lois permettant enfin une réelle réduction du stress ?