Garder sa raison de vivre et raison garder

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3.2 Ambroise

Ses cerfs-volants: Les cerfs-volants sont une passion pour Ambroise. Il trouve dans chacun de ses cerfs-volants une signification profonde. Chacun des cerfs-volants reflètent un rêve. Il les traite comme ses enfants. Il les laisse rêver, voler, mais tient la ficelle le plsu serré possible pour ne pas les laisser s’envoler. Les cerfs-volants sont des rêves et il vit pour ceux-ci. Ses cerfs-volants symbolisent la liberté, les idéaux, et, pendant la guerre, l’ancienne France. C’est pour lui une manière de rester accroché à sa liberté. En continuant à faire voler ses cerfs-volants pendant qu’il est dans un camp, il risque sa vie, car les allemands auraient pu le tuer pour ça.

P.92 “Et alors on fait de sa vie, de ses idées et de ses rêves… des cerfs-volants.”

La paix: L’autre raison de vivre d’Ambroise est la paix entre les hommes. Il ne supporte pas les conflits et rêve d’un monde sans guerres et sans violence. On peut aussi voir dans le roman, qu’il est très engagé dans la résistance. Il est donc près à mourir pour la paix (→donc raison de vivre). Il se bat métaphoriquement pour la paix grâce au symbole de ses cerfs-volants. Il est très engagé dans la résistance car il croit du plus profond de lui-même en la paix. Ses cerfs-volants sont sa manière de l’exprimer. Pendant qu’il est dans un camp de concentration, il continue à résister, continue à se battre pour la liberté et la paix. Il le fait d’une manière métaphorique.

3.3 Lila

Ses rêves: Lila rêve, elle espère. Elle vit pour le future et n’arrive pas à entièrement apprécier le présent. Elle souhaite devenir importante. Elle change constamment d’avis sur ce qu’elle veut devenir. Elle cherche encore sa raison de vivre exacte.

Lila est une personne confuse qui ne sait pas ce qu’elle veut, donc elle se tient à ses rêves et vit pour ceux-ci. Elle aime Ludo, mais son amour pour lui n’est pas aussi fort que son envie de réussir. Contrairement aux autres personnages, la raison de vivre de Lila n’est pas concrète. Sa raison de vivre est un cerf-volant. Sa raison de vivre est de la chercher.

3.4 Marcellin

Son restaurant: Marcellin Duprat refuse tout au long du roman de quitter son restaurant, le Clos Joli. Il refuse de renoncer à la cuisine juste parce qu’il y’a les allemands. Il prend un grand risque en laissant le Clos Joli car les bâtiments autour de lui se sont presque tous fait bombardés. Mais cela lui est égal. Rien ne se mettra dans le chemin de sa raison de vivre. Marcellin préfère prendre le risque de mourir avec intégrité et, s’il reste en vie, toujours avoir sa raison de vivre. C’est tout ou rien. Les personnes raisonnables lui conseillèrent tous de fermer son restaurant, de ne pas prendre le risque d’être bombardé. Marcellin résiste d'une manière abstraite et concrète. Le fait qu’il ne se laisse pas abattre par l’occupation allemande est symbloique (abstrait). Le restaurant qui reste en place au milieu des bombardements est plus concret. C’est concret et abstrait en même temps.

3.5 Julie Espinoza

La résistance: Julie risque sa propre vie, en se faisant passer pour une allemande importante, pour sauver la France. Elle donne même des informations sur l’avancée des allemands. Elle espionne les allemands pour le compte de la résistance.

3.6 Vaut-il mieux garder sa raison de vivre ou raison garder?

3.6.1 Selon Romain Gary

Romain gary, l’auteur, nous montre clairement son opinion sur cette question dans ce roman. Il est de l’avis qu’il vaut mieux garder sa raison de vivre. Les raisonnables du roman traitent ceux qui gardent leur raison de vivre de “fous”. Mais chaque personnage “fou” finit par être gratifié. Ils auraient donc fait le bon choix.

L’auteur fait passer les raisonnables comme des fous (paradoxe). Ceux qui gardent leur raison de vivre devienne donc la norme, et les raisonnables les différents, les lâches.

Conclusion

En conclusion