Les fondements de la communication
Par Ninoka • 28 Septembre 2018 • 2 164 Mots (9 Pages) • 387 Vues
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Elément verbaux
Articuler bien
Bonne compréhension
Compréhension médiocre
Surveillez et améliorer la qualité de votre voie : soyez convainquant
Sentiment de crédibilité
Peu d’attention
Parler de manière calme et posément varié de temps en temps le début afin de ne pas lasser
Le publique perçoit l’orateur comme un personnage calme non excité
Perturbation du public si le dédit est entrecouper, mauvaise assimilation
Contrôlez votre voix
Maintien l’intérêt et l’implication des gens
Sentiment de monotonie
Insistez sur une syllabe, un mot, élevez et laissez descendre la voie
Permet de traduire les sentiments positifs talque convictions, joie
Induit aussi des sentiment négatifs tel que colère, fatigue.
Elément non verbaux
Adoptez une présentation adapter au public :
Vêtement,
Vous vous sentiriez plus à l’aise le public aussi
Sentiment d’inconfort gênant
Parlez naturellement
Vous seriez perçu comme ouvert et amicale et vous pourrait communiqué plus facilement
Attention : il est important de rester naturelle un surir factice est vite déceler et mal interpréter
Soyer détendu
Soyez détendu
Remarques identiques
Le message ne passe pas
Approchez successivement le regarde des personnes
Le regard attire l’attention crée la communication, le public se sent impliqué
Ne pas répondre a un regard crée un malaise
Aillez un regard direct
le public perçoit l’orateur comme une personne fouillant
un regard fouillant donne une sensation négative( mensonge hypocrisie méfiant)
Bougez de manier positive
Le public perçoit l’orateur comme quelqu’un de positif
Manque d’enthousiasme
Les gestes positif
-transmettre un message (sans parler)
-répète l’information(complète la parole , appuyé le discours pour convaincre
Peuvent traduire des sentiment négative, peur ironie,
II – L’ECOUTE
Nous écoutons nos interlocuteurs afin d’appliquer leurs principes, de les aider à résoudre un problème, d’approuver ou de contrecarrer leurs dires. Mais savons-nous bien écouter ? Une bonne écoute nous impose de ne pas prendre parti, d’oublier quel est notre avis sur tel ou tel sujet afin de cerner les objectifs, repérer les préoccupations des interlocuteurs parmi lesquels nous pouvons distinguer :
- les « fonceurs » (directs, impatients) ;
- les « méthodiques » (prudents, patients) ;
- les « relationnels » (spontanés, émotifs) ;
- les « créateurs » (imaginatifs, pleins d’idées).
En vertu de leur personnalité, que nous aurons « repérée » en les écoutant, nous saurons trouver le « ton juste », la parole appropriée.
- COMMENT ECOUTONS-NOUS ?
Nous n’écoutons pas toujours avec attention nos interlocuteurs parce que nous sommes distraits, fatigués, angoissés…
Divers facteurs peuvent en effet fausser l’efficacité de notre écoute et, selon les circonstances, nous pouvons nous reconnaître dans l’un des personnages ci-après :
- le malentendant : le message ne passe pas ;
- l’étourdi : un simple bruit de fond peut le détourner du sens profond du message ;
- l’angoissé : sa capacité d’écoute est amoindrie et il ne retient que des brides du message ;
- le conservateur : il ne saisit du message que les éléments qu’il connaît déjà ;
- l’auditeur moyen : il écoute tout de manière superficielle ;
- l’auditeur sélectif : le message ne l’intéresse que dans sa partie nouvelle ;
- l’auditeur vigilant : il écoute tout de manière approfondie ; le bruit peut éventuellement le gêner.
2- LES PRINCIPALES ERREURS D’ECOUTE
Examples d’erreurs d’écoute
Comment les éviter ?
Autres types d’erreurs à éviter
- M. X vient voir M. Y afin d’avoir un conseil sur…
- Sans l’écouter, M. Y lui conseille d’aller voir M. Z M. X se sent rejeté
M. Y aurait dû prendre le temps d’écouter M. X avant de l’évincer.
Simuler l’écoute.
- Ignorer le problème
- M. X a exposé son problème
- M. Y désapprouve vivement M. X se sent jugé, humilié
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