Le Thème de la Souffrance chez Lamartine et Vigny

...

Pourtant que la troisième partie symbolise le dénouement, il existe aussi un aphorisme de la mort du loup. Un renversement du mythe d’un loup monstrueux, le loup prédateur devient un loup donateur. Présenté dans les quatre derniers quatrains, le dénouement montre la devise générale : les valeurs stoïciennes des loups. « Gémir, pleurer, prier est également lâche. Fais énergiquement ta longue et lourde tache. Dans la voie ou le Sort a voulu t’appeler, Puis après, comme moi, souffre et meurs sans parler. » Comme le mot « Sort » est en majuscule, une personnification qui représente le conflit de l’Homme contre son destin, la mort, c’est une allégorie d’une puissance surnaturelle qui personnifie le destin du loup et les destins des Hommes. Exposée par la mort du loup et affecté par la violence du pacte des villes, le narrateur devient une symbole d’altérité. Une intuition de Moi qui se distingue le conflit entre le moi et non-moi, en conséquent de former d’une existence dans un point de vue alternatif, crée l’essence d’altérité. Comme le loup donne la morale stoïcienne a ses spectateurs, en particulier le narrateur, son apathie et sa réalisation de la mort du loup devient une symbole d’altérité.

Comme de l’art en littérature crée une perception de l’individualisme, de l’imagination, et de la créativité dans la poésie, les écrivains romantiques se peignent une forme d’expression distinguée qui oppose la Raison des Lumières. Comme de Vigny, de Lamartine se peigne les éléments de la nature comme une forme de liquide, comme la nostalgie, la fuite de temps, et la nature omniprésente dans « Le Lac. » On examine ensuite les éléments du thème de la fuite de temps et l’omniprésence de la nature qui gardent les souvenirs et la nostalgie humaine.

Un titre qui déjà évoque la nature, cette poésie commence avec une rime embrassée (ABAB) par les mots (rivages, retour, âges, jour). Comme l’auteur exprime la fuite de temps par le vers 3 et 4 « Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges Jeter l’ancre un seul jour? » Cette enjambement veut exprimer comment de Lamartine contrecarre le fleuve du temps. Pourtant qu’un champ lexical du temps se présente dans le poème avec les indicateurs de moment comme (jour, nuit, heure, année), l’eau devient une métaphore pour le temps qui fuite pendant le poème. Vers le ligne 35 « l’homme n’a point de port, le temps n’a point de rive ; Il coule, et nous passons! » Par une comparaison de la petitesse de l’homme contre la grandeur de l’océan, avec une seule ancre jetée dans l’immensité de l’océan du temps, Lamartine reste conscient de l’impossibilité de contrecarrer cette puissance surnaturelle.

Par les obstacles incessants que nous rencontrons dans la vie, nous découvrons l’essence de l’intuition, de la conscience, et de la condition humaine. Comme nos expériences du passé se transforment au souvenirs, ceux qu’il est composé de la nostalgie, de la joie, de la douleur, et de la souffrance, ces souvenirs déterminent notre conscience. Tandis que nos consciences sont des produits idéologiques de Moi, on dévoile plusieurs niveaux de signification de notre identité, en gagnant une meilleure compréhension de ce qu’il définit la subjectivité de Moi. Contrecarré a l’objectivité et de la Raison des Lumières, les Romantiques expriment leur intuition et leurs idées subjectives par la création d’une littérature de l’art par l’observation de nature. Comme le loup chez de Vigny exprime ces stoïciennes morales au narrateur par sa souffrance dans la nature, on perçoit comment la fuite du temps nous échappe chez de Lamartine. Bien que l’amoureuse de Lamartine reste éternelle comme un souvenir qui est gardé dans la nature du Lac, on devient plus âgé par la fuite du temps. Puisque ces sentiments romantiques reste même aujourd’hui, Il faut vivre dans l’instant. Comme l’acteur américain Matthew McConaughey raconte son parole dans le film « Dazed and Confused » “Thats what I love about these High School girls, man. I get older, they stay the same age” (1993).