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Exposé, les contemplations, Victor Hugo

Par   •  13 Octobre 2018  •  2 398 Mots (10 Pages)  •  6 147 Vues

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- Livre 6 : Au bord de l’infini

Le livre des certitudes. Il est peuple des spectres, d’anges, d’esprits qui apporte au poète les révélations attendus. Les messages recueillent sont parfois contradictoires : des poèmes d’angoisses (HORROR, pleures dans la nuit) voisine avec des poèmes d’expériences (spés cadavre) mais l’espérance fini par l’emporte. Le livre s’ouvrer sur deux poèmes qui montaient une route à parcourir (le pont ; ibo), il s’achève par les prophéties rassurantes de la bouche d’ombre, qui, au terme du voyage, annonce l’échec final des puissances criminel et l’avènement de l’universel pardon.

- ETUDE THEMATIQUE

- Thème de l’amour

Le thème de l’amour, suite une progression logique. La thèse 1 Logique autrefois conserve à la jeunesse du poète parle de son amour adolescent .Ce type d’ amour prend une forme physique au livre 2 et s’ amplifie pour adopter des contours universels .Le premier amour est celui du sentiment naturel que chacun est prouvé pour ses proches .Dans le recueil Hugo adresse cette amour à ses maitresses ses filles Léopoldine et Adèle comme on peut le voir dans de nombreux poèmes du livre 4(mes deux filles)poème dans lequel le poète se réjouit de voir ses deux filles ensemble. Poète qui fait aussi l’éloge de ses bien aimer te que (L lèse ou Los) il les d’écrit comme les anges les yeux du princesse et amour non seulement farouche dans la coccinelle mais naïf et innocent dans veille chanson

Les amours dans ce recueille et de naturel physique mais considérer pour Hugo comme un livre de la nature. En effet c’ est la nature qui insiste « l’amour par le moment cette mois ou n’aime »et le lieu « dans les arbres profonde ».Ainsi c’est dans la nature que l’ amoures physique s’épanouit « oh comme lieu désert les cœurs sont farouche ;cette fleurissante que de baisser au bouche quand on est dans l’ ombre des bois ».Cette insistassions naturelle à l’amour chamelle est illustré dans le poème crépuscule ou les injonctions se succèdent « aimer ;vous qui vivez » « ou en aimons toujours ! »

Le Poème les contemplations glissent son amour vers la charte. Il faut aimer les victimes de la société (les enfants, les femmes, les vieillards, les animaux) « l’amour s’étend à tous les autres ; et particularise de faible »pour Hugo il faut aimer même les affreux comme les condamnes en mort, les malades « pour qui qu’on leur jeté tout bas, loin derrière la vilain et la mauvaise herbe murmure : amoure »

La mort avec le recueil les contemplations la parole poétique prend la mort le poète précise « cette livre doit être lutte comme on lirait le livre d’ un mort »/Et cette expérience de la mort que Hugo choisit de raconter narration s’établit en deux étapes :la souffrance de la mort et l’interrogation métaphysique dans le premier cas ; c’est un obstacle à l’amour :l’amour du père prend fin vécu la perte de la paille .Dont la noyade achève horriblement ;la lune de miel ;le trépas reste derrière lui désolation chagrin ;désespoir blasphème « les morts »

Dans autre aspect Hugo montre clairement son refus de la mort et ne cesse de s’interroger sur le sens du décédé de Léopoldine. Cependant il se heurte aux mystères que nul ne comprend .Cette incompréhension l’ amène à réfléchir sur la destine humaine c’ est alors dans la mort que commence dans la contemplation que l’âme saisit le mystère de l’ univers .En contemple signifiant observe une partit du temple ment (ciel), Hugo y stricte le tombeau à fin d’ y trouve le signe de l’immortalité de l’ âme du « buffle »De « l’âme »du désespoir et du doute ;le poète tourne son regard vers le ciel et y découvre le chemin rédemption .Une réconciliation avec le devin qui rappelle l’itinéraire de Jacob et de job « ce qui di la bouche d’ombre »

- LA RELIGION

Médiation appel ne conclusion et une des vérités que le poète tire de sa réflexion et la certitude que la religion attache l’énigme de la souffrance de la dualité entre pathétisme et christianisme .HUGO tire une nouvelle croyance doublement influencé par la religion et la philosophie. C’est la voie de la science une forme intime et vivante de la loi morale qui commande à son adepte de rompre toute sa distance avec lui et sa créateur « le pond »elle a identifié sa présence par la métamecycoce « le mendient ».

Le poète des contemplations indique alors la philosophie dans l’âme : « voyons ma petit teste voyons vos miracle //je reprends ma raison devient l’immensité je viens à vous seigneur ! Confessent que de//bon clément indulgent et doué ho dieux vivent//Je conviens que vous seul savant ce vous faite//et que ! Ho n’est rien qu’un jouc qui tremble »p297

- LA MORT

Dans les contemplations ;Hugo ne fait qu’implicitement référence à sa fille .Seul quatre poèmes lui sont directement adressés ; sans autant que son prénom n’ apparaisse sous la plume du poète .Il s’agit de : « A ma fille » ; « 15 février 1843 » ; « Demain dès l’aube »ainsi qu’ « A celle qui resté en France ».Ce pendant ;l’ ombre de Léopoldine plane en filigrane sur de nombreuses pièces du recueil comme dans « Claire P ».Ce texte fait partie d’ « Aujourd’hui » ;le livre du deuil ;il a pour fonction de rappeler au lecteur la mort de Léopoldine .Le décès de la fille de Juliette Drouet évoque immanquablement le drame similaire vécu par Hugo .Dans plus il y a rapprochement entre les défuntes de par leur extrême jeunesse et également par les adjectifs dont le poète use pour les écrire :toutes sont blanche et gaies .Nous remarquerons encore que Victor Hugo et sa maitresse adoptent la même attitude face à leur enfance qui n’est pas considéré comme mort mais endormi .Ainsi ;Juliette Drouet s’ adresse en se terme à sa fille : « claire tu dors ».(….)je ne puis pas réveiller mon enfant. (1)Nous retrouvons des propres identiques dans « A celle qui est resté en France »où Hugo interroge Léopoldine « pourquoi donc dormais-tu d’une façon si dure /que tu n’ entendais pas lorsque je t’appelais »(2).Le rapprochement se poursuit lorsque Hugo mentionne la mort du père de Claire .Si James Pradier est réellement décédé ; le poète l’est symboliquement parce qu’il se voit exilé mais surtout car sa fille a emporté le cœur paternel dans le tombeau .Ainsi donc ;la mort de Léopoldine se reflète dans celle de claire

Si « aujourd’hui » a pour

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