Excipit, la mort du roi Tsongor

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b. La mort du Roi Tsongor.

- l.1 périphrase “cadavre” pour désigner le roi = Il est bel et bien mort, le destin annoncé par le titre est accompli.

- CL de la mort (l.1 “cadavre” “esprit”, l.5 “mourait” “mort”, l.13 “tombeau”) = Confirme la mort du Roi Tsongor.

- CL du destin (l.6 “scella”, l.29 “condamné”, l.30 “contraint”, l.34 “malédiction”) = Fatalité du destin présente, Tsongor devait mourir comme l’avait prédit le titre.

- l.6, 14, 13, 32, 54, 59 répétition “tombeau” = Amplification de cette mort et montre l’accomplissement du destin de Tsongor par la dimension symbolique du tombeau avec le passage entre la vie et l’au-delà.

c. Mort de Katabolonga, fin d’une époque.

- l.19/20 “Une main sur le pommeau de son poignard, l’autre tenant le tabouret d’or sacré” = Nous montre les deux rôles de Katabolonga, tous deux accomplis : celui du meurtrier, respectant la promesse faite en tuant Tsongor et l’ami et serviteur de Tsongor, accomplit tout au long de sa vie.

- l.16 “voilà” + l.17 anaphore “le temps” = Accomplissement de la vie de Katabolonga, qui meurt car sa vie est complète.

- l.21 “figer” = on a un monde figé dans le temps avec les tombeaux et la “statue” (l.31)

- l.16/17 “Je suis le dernier du vieux monde.” = Katabolonga emporte avec lui toute une époque.

Transition : Cet excipit montre bien l’accomplissement du titre. Il s’agit là de la fin du cycle Tsongor, de Katabolonga, de Massaba, et de tout un monde. Pour autant, cet incipit montre aussi une ouverture vers un renouveau.