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Déjà la nuit en son parc amassait – Du Bellay L'Olive

Par   •  24 Novembre 2017  •  730 Mots (3 Pages)  •  1 143 Vues

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la femme aimée comme l’adjectifs “ vive “, le gérondif “ En riant “ qui montre cette femme en mouvement le therme “ Aurore “ qui fait référence à la déesse Grecquo-Romaine. Les thermes mélioratifs montre une Femme idéalistée.

II)Le Décor

Dans le 1Er Quatrain nous avons deux indications de temps ( La nuit et le jours ) car le poète ainsite sur le mouvement du temps qui s’écoule et qui entraîne le jours.

Dans les deux 1èr vers nous avons une personification de la nuit et une méthaphore :

“ Un grand troupeau d’étoiles vagabondes “.

Une ambiance clair obscure ce met en place entre la nuit :

Vers 1 “ La nuit “

Vers 4 “ C’est noir chevaux “

Forment un contraste avec au vers 2 “ La Faible lumière des étoiles “

Le deuxième quatrain marque la progréssion du temps avec la naissance de la lumière et des couleurs.

Vers 5-6 “ Déjà le ciel aux Indes rougissait

Et l’aube encor de ses tresses tant blondes. “

Peut représenter une belle jeune fille. “ Ses tresses tant blondes “ sont mise en valeur par une allitération en “ s “ ( consonne ).

La Poésie est souligner par une méthaphore ( vers 7 ) “ des perlettes “ pour désigner la Rosée.

III)Le regard éblouie sur la Femme aimée

Dans le 1er Tercet l’apparition de la femme et d’abord mise en valeur par le verbe au passée simple comme au Vers 10 “ Je vis sortir “ placer au début du vers.

Cette femme n’est pas directement nommée mais désigner par une périphrase qui contribue à la diviniser.

L’indication spatiale “ Occident “ crée une symétrie et une opposition avec la naissance du jours aux Indes.

On peut remarquée aussi les indications de lumière et de couleur comme on le voit au vers 9-10 : “ une étoile vive “ ; ” Ta verte rive “.

A la fin du 1er tercet l’apostrophe “ Ô Fleuve mien “ crée une rupture syntaxique, le possessif “ miens “ marque la relation de la familiarité qui unie le poéte au fleuve, la Loire. Ce cadre aimer sert donc d’écrain à la beautée de la femme aimée.

Dans le 2ème tercet la femme associée à “ l’Aurore “ 2 beautées sont opposées et sont mise en concurrence face au “ Jours honteux “ Vers 13.

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