Du Bellay, « Déjà la nuit en son parc... ». L'Olive (1550)
Par Plum05 • 28 Février 2018 • 719 Mots (3 Pages) • 1 104 Vues
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-Élément déclencheur marqué par la proposition circonstancielle de temps « Quand » vers 9
-Apparition de la première personne du singulier « je » qui est un « je » lyrique qui montre que le poète apparaît comme témoin de cette apparition la « Nymphe » vers11
-« ô » apostrophe au fleuve, « ô fleuve mien ! » phrase exclamative qui exprime sa stupéfaction,son coup de foudre
-Métaphore : la femme aimée est d'abord désigné par « étoile vive » vers9 : cette comparaison fait echo au vers 2 : les étoiles illuminent la nuit comme la femme aimée illumine la vie du poète. « troupeau d'étoiles vagabondes » / « étoile vive » ,elle apparaît singulier, sa beauté/ lumière est égale à celle d'une multitudes d'étoiles comme si elle rassemblait l'éclat de toutes les étoiles.
-Dans les 2 quatrains précédent nous avons des verbes conjuguais à l'imparfait alors que dans ce tercet nous avons des verbes conjuguais au passé simple : « je vis » vers 10 qui nous montre que le poète nous décris instantanément cette action
- La beauté du jour inférieure à la femme aimée du poète
- « Alors » adverbe conclusif qui montre la progression du poème -La beauté de la femme concurrence la beauté de la nature avec la personnification de la femme à travers « la nouvelle Aurore »
- « Le jour honteux » vers 13 exprime l'infériorité du jour à la femme -Dans le dernier tercet, le poète se désigne lui-même à travers « Angevin » vers 14 qui est sa région natal.
En somme, chaque strophe du sonnet de Joachim Du Bellay à un thème bien précis pour pouvoir représenter la femme sous les traits d'une nymphe. Le registre lyrique montre la célébration de la beauté de la femme. Le poète introduit une émotion lyrique mais surtout personnel.
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