Another Girl” by Shilpi Somaya

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"Kavita, come, you're not thinking straight, We can't do this."

He throws his hands in the air. "She will become a burden to us, a drain on your family. Is that what you want?" He stands, towering over her again

"Kavita, venez, vous n'avez pas les idées claires, Nous ne pouvons pas le faire."

Il jette ses mains en l'air. "Elle deviendra un fardeau pour nous, une évacuation sur votre famille. Est que ce que vous voulez?" Il est debout, imposant sur elle de nouveau

Her mouth is dry. She stumbles over the words she has not quite allowed to form except in the distant corners of her mind. "Give me one night. Juste one night with my child. You can comme fetch her tomorrow."Jasu remains silent, looking down at his feet.

"Please"

Sa bouche est sèche. Elle trébuche les mots sauf lesquels elle n'a pas tout à fait permis de se former dans les coins éloignés de son avis(esprit). "Donnez-moi une nuit. Juste une nuit avec mon enfant. Vous pouvez venir l'effort elle demain." Jasu reste silencieux, baissant les yeux à ses pieds.

"S'il vous plaît"

Doc 2

Across India, a collective gasp can be heard rippling through the audience in cinemas these days. It comes when a bride is seen telling her in-laws where to get off and tartly reminding them that, by paying a dowry on her marriage, she has effectively bought their son, who is now her property. This is not a scene in a film. It is one of two public information videos that take aim at the dowry system.

À travers l'Inde, on peut entendre un halètement collectif ondulant par le public(l'audience) dans des cinémas ces jours. Il vient quand on voit une jeune mariée disant ses beaux-parents où descendre et leur rappelant aigrement que, en payant une dot sur son mariage, elle a efficacement(effectivement) acheté leur fils, qui est maintenant sa propriété. Ceci n'est pas une scène dans un film. C'est une de deux vidéos publiques de l'information qui prennent visent le système de dot.

Though illegal since 1961, dowries are still an integral feature of Indian life. Yet roughly every hour a woman is murdered over dowry demands, according to 2014 figures from the National Crime Records Bureau. These two new videos take a very different approach from government campaigns, using ridicule rather than moral exhortation. They turn the tables on men, depicting them as “objects” that – like the scooter, TV and microwave that came with the dowry – have been paid for by the bride and are therefore for her use

Quoique l'immigré clandestin depuis 1961, les dots soient toujours une caractéristique(fonction) intégrale de vie indienne. Pourtant grossièrement chaque heure une femme est assassinée sur des demandes de dot, selon des figures(chiffres) de 2014 du Crime national Enregistre le Bureau. Ces deux nouvelles vidéos prennent une approche très différente de campagnes gouvernementales, utilisant la raillerie plutôt que l'exhortation morale. Ils tournent les tables(inversent les rôles) sur des hommes, les dépeignant comme "des objets" que - comme le scooter, la TV et le micro-ondes qui est venu avec la dot - ont été payé pour par la jeune mariée et sont donc pour son utilization

Le premier document nous parle d’une femme qui s’appelle Kavita , de son mari Jasu et d’une sage femme. Dans ce texte Kavita est enceinte , elle décide d’accoucher dans une hutte elle est accompagnée d’une sage-femme. Lors de son accouchement elle s’aperçoit que c’est une fille donc elle demande à la sag

e-femme de ne rien dire car en Inde les filles ne sont pas bien .

Le premier document nous parle des enjeux et des conséquences des infanticides et des avortements de filles en Inde. Ici nous avons l’exemple de Kavita qui est enceinte d’une fille elle dit alors a la sage femme de rien dire a personne. Jasu veut alors voir l’enfant lors ce qui se rend compte que c’est une fille il dit alors a Kativa qu’il ne peuve pas la garde car c’est une fille.

Le premier document nous parle des infanticides et les avortements des filles en Inde. Ici nous avons l'exemple de Kavita qui est enceinte d'une fille elle dit a alors la sage-femme pour dire que rien n'a personne. Jasu veut alors voir l'enfant alors ce qui se rend compte que c'est une fille il dit a alors Kativa qu'il pas peuve pas la garde parce que c'est une fille