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Karl Marx

Par   •  30 Octobre 2018  •  1 074 Mots (5 Pages)  •  445 Vues

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Selon moi, le travail ne permet pas à l’homme d’être libre. Je pense que ce n’est pas le travail qui donne la liberté à l’homme mais plutôt ses différentes conditions de vie, par exemple : si un avocat s’engage dans un dossier, même s’il ne veut plus ce cas, il reste sous contrat jusqu’au moment où une personne est plaidée coupable, ce qui est le contraire de la liberté réelle, car l’avocat ne peut pas décider d’abandonner le dossier quand il le veut, il a l’obligation de le compléter. Les conditions de vie dans pas mal tous les cas ne sont pas bonnes car l’homme doit quand même faire des heures de fous et il doit aussi faire tout ce qu’on lui demande sans exception. L’employeur de l’homme doit toujours tout savoir alors il lui est donc soumis, il ne peut rien décider seul. La liberté réelle, à mon avis est de pouvoir faire ce que l’on veut quand on le veut comme lorsque nous sommes à la maison. Cela en conclut assez vite que le travail ne fait pas partie de cette catégorie mais plutôt la liberté formelle. Elle contribue à l’aliénation et l’exploitation de celle-ci. De plus, les conditions de travail sont inhumaines au 19e siècle, la liberté n’en fait aucunement partie dans le fait de travailler. Selon moi encore, être libre c’est avant tout de faire ce qu’on veut et d’être heureux avec ça. Cela ne peut être possible quand les conditions de travail se rapportent à l’aliénation et nous rendent malheureux. Pour moi, être heureux dans le travail que je fais est crucial. Comme Marx dirait, si les besoins humains ne sont pas satisfaits, on ne parle pas de liberté. Travailler dans des conditions misérables ne satisfait pas le besoin social et ne rend pas heureux.

Je peux alors soutenir que le travail ne permet pas à l’homme d’être libre durant le 19e siècle. Le travail force l’homme à vivre dans des mauvaises conditions et ne lui apporte qu’une liberté formelle car elles ne sont pas propices au bien-être de l’homme.Le travail est devenu une punition; l'homme ne travail pas pour le plaisir, mais pour le salaire. Le travail est donc une source d’aliénation. La liberté réelle ne peut exister avec ces conditions médiocres. Si les conditions de travail du 19e siècle auraient été mieux qu’elles l’étaient et que le travail nous permettait de faire ce que l’ont voulait quand on le voulait, est-ce que le travail aurait permis à l’homme de jouir d’une liberté réelle ?

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