Explication de Texte Marx

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famille et c’est ce qu’explique Marx en disant “dès qu’il n’existe pas de contrainte physique ou autre le travail est fui comme la peste” (l.11-12) donc nous pouvons bel et bien comprendre que le travail n’est pas un choix en soi, et que le travail est considéré comme une nécessité nécessaire à la satisfaction de besoins. Il est nécessaire à ce que la nature ne donne pas: de l’argent. Marx justifie son idée en expliquant qu’en réalité l’ouvrier émet un sacrifie et blesse son corps car en soi le travail déshumanise et donc c’est comme si l’homme est au service de ce fonctionnement appelé “travail”.

Marx justifie l’idée que l’ouvrier ne s’appartient pas mais plutôt appartient à autrui, la liberté de l’homme est donc menacée. Marx nous fait comprendre que le fruit de la réalisation du travail de l’ouvrier ne lui appartient pas et est destiné à quelqu’un d’autre, donc en quelque sorte l’ouvrier ne s’appartient pas puisque tout ce qu’il réalise n’est pas pour lui. Marx nous fait comprendre que l’ouvrier est le bon exemple du travail à la chaîne, un travail automatique et continue en avantage à “autre”. “Autre” désigne la bourgeoisie, la lutte des classes est ainsi bel et bien représentée puisque l’ouvrier représente le prolétaire et le “autre” la bourgeoisie. L’ouvrier dépend de son supérieur, la bourgeoisie, et donc l’idée de celui qui domine et celui qui est dominé est ainsi bien représenté. Il justifie son idée par un exemple portant sur la religion car pour lui la religion domine et il fait donc une distinction entre la religion et le travail, à travers son exemple Marx montre que la religion agit sans que l’humain le consente. Marx qualifie la religion comme étant “ divine” et “diabolique”, nous pouvons relier cela au fait que Marx perçoit la religion comme une création bourgeoise. Marx a une vision de la religion comme étant une illusion néfaste qui est profitable aux classes dominantes et donc cela nous permet de comprendre pourquoi il la qualifie de diabolique. Marx dit: “elle est perte de soi-même” (l.20), il désigne ici l’activité propre ou encore le travail et désigne cette perte comme une conséquence sur l’homme. Nous pouvons comprendre par là que pour Marx travaillé pour les besoins d’un autre comme dans le cas de la bourgeoisie et du prolétaire conduit à notre perte puisque l’un travaille donc c’est le fruit de la sueur de son corps, tous ses efforts physique et mentaux, tandis qu’un autre attend que cet effort soit prêt à lui être avantageux. Marx finit par conclure que l’homme n’est lui qu’en tant qu’animal, uniquement à travers ses besoins primaires. L’ouvrier est ici caractérisé tel une machine inhumaine puisqu’il perd son “soi’ ce pour quoi il est humain lors du travail et donc devient animal. L’animal prend donc la place de l’humain et l’humain celui de l’animal.

l’homme peut aussi travailler par pur plaisir et non pas seulement par contrainte et peut travailler pour lui même et pas forcément dans l’intérêt d’un autre. Tout homme, peu importe la classe sociale, doit travailler il n’est pas seulement question de l’ouvrier mais de tous.

En conclusion, le texte nous permet de comprendre que le travail est néfaste à l’homme et l’utilise comme un objet. Le texte nous permet de comprendre que l’aliénation du travail consiste à avoir un dominé et un dominant, le dominé travail au profit du dominant.

L’analyse du texte de Marx nous permet d’avoir une interprétation chronologique de sa définition de l’aliénation du travail. Il nous la présente tout d’abord comme un élément qui est étranger à l’homme puis nous présentes les conséquences qu’il a sur l’homme, le travail est contraint à l’homme et n’est pas volontaire, le travail de l’homme ne lui appartient pas mais appartient à quelqu’un d’autre et il finit par nous dire que l’homme n’est qu’à l’aise dans ses fonctions animales.

Il nous permet ainsi de suivre une chronologie clair avec l’emplois de connecteur logique tel que « d’abord », « en conséquence », « enfin »,

Cette analyse permet de s’interroger sur les effets de l’industrialisation, et le travail