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Admin1015 tn1

Par   •  16 Octobre 2018  •  1 422 Mots (6 Pages)  •  427 Vues

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Question 2

La théorie des affaires selon Turgeon est de fournir aux entreprises des outils de décisions qui leur procurera un vaste choix d’action à entreprendre afin d’être toujours productifs.

Dans notre société en pleine mutation, les gestionnaires, les entrepreneurs doivent devenir proactifs et prévisible. Ils ne doivent pas se considérer comme des parfaits, mais toujours en évolution. Pour mieux servir ses clients, les dénicher, les garder et obtenir d’eux des recommandations, l’entreprise doit s’assurer de connaître suffisamment les aspects de l’angle microscopique qui sont selon Turgeon : « qui est cette organisation ? Quelles sont ses forces, ses faiblesses, ses habiletés, ses compétences distinctives, ses ressources ? Comment réussir sur ce marché ? » Ces questionnements permettront à l’entreprise d’offrir une plus-value sur ses produits et d’adapter une main d’œuvre (cravate ou jogging, anglais ou français, autocratique ou …). L’angle microscopique analyse l’entreprise par ses éléments internes ce qui veut dire qu’elle touche directement à l’adaptation de la stratégie de GRH à l’environnement interne en lui permettant de choisir selon des études claires, à associer les bonnes tâches aux bonnes compétences, à mettre à pied si nécessaire, bref à avoir des bases solides de fonctionnement. Selon Turgeon, sur la base de la synthèse de l’information recueillie par les questions que ces différents angles de vision posent, gestionnaires et entrepreneurs peuvent mieux appréhender le monde économique qui les entoure et, ainsi, faire de meilleurs choix parmi les différentes options de création, de captation et de partage de la valeur disponibles.

Question 3

Retenons après survol que les tactiques d’affaires sont le choix résiduel subordonné à la stratégie et au modèle d’affaire retenus. Ajoutons aussi qu’une perspective de la valeur ajoutée est devenue : « Aujourd’hui, on reconnait que la direction des organisations doit mettre en place de politiques, des activités, des méthodes et des systèmes de GRH afin que leur personnel devienne un avantage distinctif en raison de ses caractéristiques propres (compétences, engagement, motivation, créativité) que les concurrents peuvent difficilement imiter. Relever les défis de la gestion des ressources humaines, 4e édition, p.14 ». Une GRH efficace permet de satisfaire les employés qui à leur tour répondent avec empathie aux clients et les rendent heureux. La chaîne des valeurs indique à quelle point la tactique d’affaires surtout au niveau de la reconnaissance et de la motivation est un atout stratégique pour la GRH. Elle lui permet de se doter d’un maillon de travailleurs collaborateurs et heureux de travailler dans l’excellence. Il faut qu’une GRH soit efficace pour avoir des tactiques d’affaires et mieux les adapter, c’est pour ceci qu’elle leur est un atout. Une valeur ajoutée ne se crée pas sans les employés qui sont l’image de la compagnie et qui la représentent devant le client.

Question 4

Madame Codsi parle d’un défi d’influence. Les GRH sont vus dépendamment du style de gestionnaire comme une structure, ou un débat et exécutant. Leur importance est selon l’ouverture des dirigeants. Les GRH les plus performants sont ceux qui s’alignent sur le Plan d’affaire, détermine le bon poste, réussissent à installer la confiance, conseillent bien et des partenaires d’affaires prêts à enrichir la pensée du gestionnaire. Ils savent aussi écouter les gestionnaires opérationnelles, sont pour la participation et la consultation. Ils ont le jugement nécessaire pour ajuster les programmes et les adapter à l’entreprise pour ne pas surcharger les gestionnaires de plan de ressources humaines. Ils sont capables de se questionner et d’établir un bon diagnostic en collaboration afin d’identifier les priorités.

Selon moi pour être un bon partenaire d’Affaires il faut savoir communiquer et partager. Il faut aussi avoir le sens de l’observation afin de prioriser. Il faut promouvoir et anticiper le changement. Il faut également être un allié solide de l’entreprise, ne pas travailler juste pour l’entreprise mais le faire comme si c’était notre entreprise en s’impliquant sincèrement.

Finalement, les éléments de l’entrevue sont une des compétences citées par Ulrich. Pour moi, il faut avoir une bonne écoute pour bien communiquer et savoir identifier les vrais besoins de l’entreprise. Aussi il participer et consulter les bonnes ressources ce qui va permettre d’être un bon allié.

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