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Adm1002 tn1

Par   •  20 Novembre 2018  •  1 535 Mots (7 Pages)  •  479 Vues

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Question 2 :

Le concept de l’administration classique établi par Fayol ressemble à celui de Taylor cependant il pousse la démarche encore plus loin en y établissant des principes d’organisations qui permetteraient d’élaborer des structures génériques assurant une efficacité maximale, compte tenu des buts établis par la direction, et d’autres part, de répérer les principales fonctions du processus d’administration. L’expérience de Fayol comme chef d’entreprise lui confère des notions de paternaliste qu’il incorpore dans ses principes d’organisation généraux. Faisons un bilan des principes et analysons si le cas de Sécuriplus y adhère.

Premièrement, le principe de la division du travail, comme le concept de Taylor, est présent comme démontré dans la question précédente. Évidemment, une entreprise de service se doit d’avoir des employés plus expérimentés et plus productifs et ce grâce à ce principe.

Deuxièmement, le principe de l’autorité et la responsabilité correspondant au droit de donner des ordres et au pouvoir de les faire exécuter. Il va sans dire que l’idée de Fayol que les responsabilités découlent de l’autorité et s’ensuit les sanctions positives ou négatives. Dans l’entreprise concernée, le directeur de la division médicale concède des pouvoirs au directeur du service des réclamations des médicaments (M. Blanchette) afin qu’il puisse gérer son département. Bien entendu, les responsabilités de cette délégation de pouvoir font en sorte qu’il doit malgré son statut de dirigeant se rapporter au directeur de la division. Comme mentionné dans le cas, « La direction ne serait pas exactement satisfaite de moi si une telle chose devait s’ébruiter et mon service aurait encore plus mauvaise réputation en haut lieu. » (p.11), une contre performance de son service aura un effet sur son statut. Par contre, en descendant dans la hiérarchie, le directeur de service, M. Blanchette, ne délègue aucun pouvoir de décisions aux commis. Le travail traitement des réclamations est strucutré avec des balises auxquelles les commis doivent se conformer.

Troisièmement, le principe de la discipline que doit appliquer les dirigeants sont élaborés par l’entreprise et régis la façon que doit se comporter les employés envers leurs supérieurs et envers les règlements. Comme le mentionne Fayol : « Lorsqu’un défaut de discipline se manifeste ou lorsque l’entente entre chefs et subordonnés laise à désirer, il ne faut point se borner à en rejeter négligement la responsabilité sur le mauvais état de la troupe; la plupart du temps, le mal résulte de l’incapacité des chefs. » (Management à l’ère de la société du savoir p.41), le problème de M. Blanchette se situe au niveau de son approche de management qui est à mon avis plus négatif que constructif. S’il se demande si la majorité des commis « l’écoute vraiment et/ou qu’ils sont sourds d’une oreille et qu’ils n’entendent pas de l’autre! », cela démontrent réellement un problème au niveau du chef (autorité).

Quatrièmement, le principe de l’unité de commandement

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