Introduction Art moderne t mouvement d'avant garde
Par Junecooper • 26 Mars 2018 • 2 572 Mots (11 Pages) • 666 Vues
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dans cette version comme dans celle de 1765
http://bergerault-univ-tours.fr/doc/doc59.pdf
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l’académie et devient précurseur du critique d'art, sur le coloris ou la symbolique, capable
de détaillé sujet historique ou composition. Sous entends que si vous êtes quelqu'un de goût
vous suivait son raisonnement.
bateaux demande une connaissance de l'ingenieurie et de l’architecture naval), relayer au
second plan car il n'y a aucune présence de corps et c'est ça que recherche les académiciens.
*la nature morte
II. Des salons au Salon.
1. des salons littéraires a la grande galerie du Louvre : l'académie s’expose.
1677 : Premier salon de la peinture et de la sculpture. (Cour du palais royal)
1673 : Premier livret du salon, servant aux riches étrangers pour découvrir ou se tenir
informé des artistes français (prémices d'une mondialisation du monde de l'art). Cela permet
aussi, aux œuvres d'être reconnu sur un territoire plus large.
(Gravure de Nicolas Langlois présentant la première
exposition publique des Beaux-Arts qui s'est tenu au Louvre
dans un Salon prêté par le roi ; les murs sont recouverts de
peintures envoyé par les académiciens, 1699)
1699 : Premier salon dans la galerie du Louvre
(variable exposition « Le Salon ») passage de
l'exposition privée entre intellectuelles
(académiciens et cour royale) à une exposition
publique.
1725 : exposition se tient au Salon Carré du Louvre délivré par le roi a al demande des
académiciens(Ou grand salon
1759-1781 : Durant cette période, c'est Diderot qui écrira les livrets du Salon. Ses
livrets prennent alors une grande importance, car écrit par un intellectuel. Diderot va
asseoir l'utilité du livret d'art.
2. De la Grande Galerie au Salon Carré : l'Exposition se donne a lire.
1725 : le salon emménage au Salon Carré (à l'époque appelé le Grand Salon).
1759-1781 : Diderot défraie la chronique avec son livret qui montre l'importance de
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Cet artiste était tout a fait reconnu, tout les ans, il présentait quelque chose, surtout des
scènes de genre, Diderot était en admiration devant elles.
3. académie et hiérarchie : les premières polémiques artistiques gagnent la
scène publiques.
« Il y a une grande variété d'action, de physionomies et de caractères dans tous ces petits fripons
dont les uns occupent cette pauvre Marchande de marrons, tandis que les autres la volent. »
Commentaire de Diderot, extrait du livret du Salon de 1761, au sujet du tableau « La marchande de
marrons » de Jean-Baptiste Greuze.
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Salon ».
« La commune des arts » demande l'organisation d'un concours jugé par l'opinion publique
et financé par le « trésor public »
1793 : Suppression des académies et création de l'Institut de France, au Louvre.
1794 : Organisation du « concours de l'an II », c'est-à-dire l'année 1794 (le début n'est plus
la naissance du Christ mais la naissance de la République).
(« L'empereur sévère reproche à Caracalla d'avoir voulu l'assassiner », Jean-Baptiste Greuze, 1769, Musée
du Louvre de Paris)
Greuze est sorti de son genre : imitateur scrupuleux de la nature, il n'a pas su s’élever à la sorte
d’exagération qu'exige la peinture historique. Son Caracalla irait à merveille dans une scène
champêtre et domestique ; ce serait dans un besoin le frère de ce grand garçon qui écoute debout
ce vieillard qui fait la lecture à ses enfants.
Concluez par ce qui précède que celui qui n'a vu les belles statues antiques que d'après des plâtres,
quelques parfaits qu'ils fussent , ne les a pas vues.
La têt de Papinien est très belle mais elle n'est pas du reste du corps, sa tête est faite pour être
grande et le Corps pour rester petit. Il en est de cette tête a corps comme d'un Teniers à un
Wouwermans.
[…] http://utpictura18.univ-montp3.fr/GenerateurNotice.php?numnotice=A0374&derniere […]
Mais ce n'est pas là le pis, c'est
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