Mouvements littéraires

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guerres de religions.

LE BAROQUE 16

Baroque vient de « baroco » (du portugais) qui veut dire perle irrégulière  tout est basé sur l’irrégularité, l’excès, les contrastes et l’extravagance.

Rupture avec l’humanisme  mouvement beaucoup plus pessimiste

Tout est éphémère, le monde est en perpétuel évolution, l’Homme s’adapte aux circonstances.

Instabilité avec les guerres de religion  la mort peut frapper à tout moment

Développement de la fascination macabre, des trompes l’œil, illusions, jeu de miroirs, troubles ; au théâtre : jeu de rôles, reproduction des éléments de décors, illusions, faux semblant

17eme s.  explosion du théâtre

- Shakespeare  Romeo et Juliette ; Hamlet

- Colderon 

- Corneille  Illusion comique

Poésie

- Théophile de Viau

- Cyrano de Bergerac  Les états et empires du soleil et de la lune

Nait le gout du roman et de la préciosité

- H. d’Urfé  L’astrée

- Carte du tendre

CLASSICISME milieu 17e

Rupture avec le baroque.

On fixe les règles  la beauté vient de la perfection  style et formes très épurés, certaine stabilité

Imitation des anciens pour toutes productions classiques du 17e

On étudie dans l’Homme des éléments de permanence

Séparation rigoureuse des genres

1671  grand ouvrage qui fixe les règles du classicisme Boileau  l’art poétique, mise en vers ; «genre de « recette » afin que les auteurs écrivent de la façon la plus idéale.

Théâtre

- Corneille  Le Cid ; Horace ; Cinna ; Pompéi ; Polyeucte

- Racine  Andromaque ; Bérénice ; Phèdre, Athalie, Esther (1 seule comédie  Les plaideurs)

- Molière  Le bourgeois gentilhomme ; L’Avare ; Le malade imaginaire ; Le médecin malgré lui ; Le misanthrope ; Tartuffe ; Dom Juan (3 comédies sérieuses)

Les moralistes

- La Fontaine  Les Fables

- La Bruyère  Les caractères (dérive de comportements humains)

Les philosophes

- Descartes  Les méditations métaphysiques ; le discours de la méthode

- Pascal  Les pensées (« l’Homme est un roseau pensant »)

Les romancières

- Mme de la Fayette  La princesse de Clèves ; La princesse de mon penser

- Bossuet  Les oraisons funèbres