Synthèse BTS Français

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Deuxièmement, l’impact des médias sur les populations non touchées peuvent être énorme, vu que les médias romancent, selon Josyane Savigneau. Qualifié d’« écrivains » par l’article « Carnets d’apocalypse », certains journalistes qui écrivent sur les catastrophes grossisse souvent le côté dramatique de la Catastrophe, d’où la différence entre l’impact qu’a la catastrophe dans la tête des populations touchées et celle qui est impacter par les médias. Du coup cela créer un réel décalage entre « mythe et réalité ». C’est d’ailleurs souvent le manque d’information qui organise la solidarité entre rescapés, comme expliquer dans le texte de Ikezawa Natsuki, c’est face à un cas de force majeure, à l’impossibilité d’avoir quelconque contact autre que de manière physique, ainsi que le temps que le gouvernement a pris pour s’organiser, que les japonais eux ont pris les devants. En commençant à aider les plus touchés qui été à proximité. Bien qu’en France en 1955, c’est la presse qui avait organiser l’entraide, selon Roland Barthes. Cependant la puissance des médias reste irrémédiable, c’est ce qui a permis à cette jeune japonaise sur le document iconographique de retrouver sa mère.

Ainsi, les médias tiennent une place importante lors de grandes catastrophes, tout le monde ne le voit pas toujours d’un bon œil, mais l’information peut permettre de rassurer des proches ou même d’organiser des élans de solidarités entre rescapés. Cependant, il est vrai que certains article, sans être erroné sont volontairement dans le registre du dramatique, alors forcément une catastrophe n’est rarement toute rose, mais il arrive par choix que la perception des populations touchées et bien moindre que celle décrite par les journalistes « littéraires ».