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La morale

Par   •  17 Juin 2018  •  1 013 Mots (5 Pages)  •  351 Vues

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(1623-1662) : « L’homme est un roseau pensant, le plus faible de la nature. Il n’est pas nécessaire que l’univers entier s’arme contre lui, une simple goute suffit. Mais à la différence de l’univers, l’homme sait qu’il va mourir »

Dans les faits, il est impossible de nier le fait qu’il y ai toujours eu de multiples conception du bien et du mal (ex : lois sur l’homosexualité).

Pascal : « Vérité en de ça des Pyrénées, erreur au-delà »

Par conséquent il semble qu’on soit conduits à tenir compte en permanence du relativisme des perspectives en matière de morale : ceci implique que la conception du bien et du mal est toujours relative à une perspective spatio-temporelle, et on peut se demander pourquoi on pourrait critiquer en fonction de notre seul point de vue les conceptions des autres. Mais quelles sont les conséquences si on s’incline face au relativisme des valeurs ? À ce moment la notion de valeur perd son sens et on considère qu’il faut respecter les différents points de vus en fonction des coutumes, des traditions ou autre, on est amené à admettre que tout est acceptable (ex : nazime, 1933-1944).

ex de sujet : si le droit est relatif au temps et au lieu, faut-il abandonner l’idée d’une justice universelle ?

Kant (1724-1804)

→ « Tout homme a une conscience et se trouve observé, de manière générale tenu au respect, par un juge intérieure et cette puissance qui veille en lui sur les lois n’est pas quelque chose de forgé arbitrairement par lui même mais elle est inhérente (= faire partie) à son être. Elle le suit comme son ombre quand il pense lui échapper. Il peut sans doute par des plaisirs ou des distractions s’étourdir ou s’endormir, mais il ne saurait éviter de se réveiller, dès lors qu’il en perçoit la voix terrible (de la conscience). Il est bien possible à l’homme de tomber dans la plus extrême objection où il ne se soucie plus de cette voix, mais il ne peut jamais éviter de l’entendre »

Selon Kant, il ne peut y avoir que des valeurs universelles (ce que peut et doit accepter ma raison) ≠ générales (qui s’appliquent à tous)

→ « Je dois me demander si je peux universaliser la maxime de mon action »

= que se passerait-il si tout le monde en faisait autant ? (si tout le monde volait/tuait etc)

Descartes : « Le bon sens ou la raison est la chose du monde la mieux partagée »

Pour Kant, il ne faut pas confondre agir par pur respect (= tu dois parce que tu dois) et agir conformément à la morale

→ « Il n’y a peut-être jamais eu une seule action morale dans le monde »

Le critère de la moralité = le fait que ça nous coûte (à notre sensibilité, égoïsme)

= le plaisir est un critère d’immoralité

→ être heureux (céder à nos désirs) ≠ être digne d’être heureux = être morale

→ Pour Kant, contrairement à Épicure, le bonheur n’est pas à notre programme

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