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Dans quelle mesure l’action des pouvoirs publics est-elle efficace pour lutter contre les inégalités ?

Par   •  21 Avril 2018  •  1 452 Mots (6 Pages)  •  948 Vues

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euros soit -21,5% après redistribution.

Enfin, des mesures sont mises en place par l’État pour lutter contre les discriminations. Des politiques de discriminations positives par exemple ont été mise en place, pour but d’une meilleure justice sociale. Cette discrimination positive, vise à réduire les inégalités de situation en vue d’’une meilleur égalité, d’équité. L’État peut lutter efficacement contre cette forme de discrimination par exemple avec le « testing » mise en place par la HALDE ( Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et l’Égalité), qui combat contre les discriminations à l’embauche, le CV anonyme est expérimenté. Cette discrimination concerne surtout les personnes handicapés, les femmes, et minorités ethniques. Dans le document 2, le 1 er article de la constitution précise « l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives ». Cela signifie qu’il faut une égalité juste de femmes et d’homme en matière politique, (la parité).

Cependant, des inégalités subsistent et l’on peut se demander si les pouvoirs publics interviennent toujours efficacement pour lutter contre les inégalités économiques et sociales.

Mais, ces politiques mis en place par l’Etat sont souvent critiqués et remises en causes et présentent des limites. Actuellement la politique de gauche est remise en cause, qu’elle n’est pas assez efficace pour lutter contre ces inégalités.

Dans un premier temps, la politique fiscale n’est pas assez efficace. La fraude fiscal en est un exemple, à cause de l’impôt progressif mal controlé en France. Les riches, se permettent de payer beaucoup moins d’impôt, car l’État veut leurs prélever une grande partis de leurs revenus. Il n’ y pas dans ce cas la une redistribution égale riches/pauvres. En plus, cette redistribution sert pour la plus part des cas à réduire les risques sociaux, c’est à dire en redistribuant entre les actifs vers les retraités, ou non actifs par exemple. D’après le document 3, le nombre de personnes pauvres a augmentés depuis la crise de 2008 d’environ 893 personnes, jusqu’en 2011 les 60% de la médiane. En 2011, 14,3% de la population vit aussi avec un niveau de vie en dessous du seuil de pauvreté. L’Etat providence serai confronté à une crise d’efficacité c’est à dire, que les pouvoirs publics veulent réduire les inégalités grâce à la protection sociale les renforces, ce qui est paradoxale.

L’Etat à du mal à réduire efficacement les inégalités quand il est en période de crise. En effet, quand le budget de l’Etat diminue, qu’il est fortement endetter par un déficit très élevé, il ne peut pas facilement rembourser les prestations sociales, et le budget de la sécurité sociale augmente. Pendant les périodes de crises financières, les inégalités augmentent de plus en plus, avec par exemple l’apparition du chômage, le niveau de vie général diminue : c’est un cercle vicieux. Les conditions de vie ne peuvent pas être gérés assez efficacement par l’État providence qu’avec les prestations sociales. Dans le document 4, l’espérance de vie total en moyenne pour un cadre (47 ans) est plus élevé qu’un ouvrier (41 ans), cela montre que l’État ne peux pas intervenir de façon égalitaire.

Enfin, l’intervention de l’État est inefficace pour réduire les inégalités sociales particulièrement la discrimination. L’inégalité des chances dans les écoles est toujours présente, avec par exemple les ZEP (Zone d’Éducation Prioritaires) qui ne sont pas très efficace car les moyens sont faibles et favorisent la disparition des familles plus favorisés dans d’autres établissement. Ainsi, il est dure, pour les pouvoirs publics d’y remédier malgrès les politiques mis en oeuvre. Les fils de cadres ont nettement plus de chances d’accéder à des études qu’un fils d’ouvriers. Car c’est du majoritairement au capital culturel transmis par l’origine social. De même pour les discriminations des femmes qui sont sous représentés, malgrès les lois qui ont été passées, la discrimination est toujours présente dans le milieu du travail sans que l’État y puisse lutter efficacement.

Pour conclure, l’action des politiques des pouvoirs publics sont relativement efficaces pour lutter contre les inégalités mais présentent de nombreuses limites et critiques qu’elles ne peuvent pas contrôler efficacement. Les écarts sociaux se creusent de plus en plus malgrès les politiques mis en oeuvre. On pourra se demander si L’État en créant de nouvelles politiques visant à réduire ces inégalités sociales et économiques ne peuvent pas justement avoir un effets pervers

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