Oral TPE: la bioluminescence 1/3

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ainsi que le remplacement de l’éclairage électrique des villes par des végétaux bioluminescents (arbres, plantes...)

Le projet Glowing plants est un projet collaboratif qui est en concurrence avec Bioglow, ils en sont aux prototypes et ils proposent déjà deux variétés de plantes dont un Arabidopsis et une variété de roses. Et ils vont même plus loin car ils proposent également un « kit » qui permet aux acheteurs de créer leurs propres plantes fluorescentes grâce à des manipulations génétiques.

c) Chez les bactéries :

Glowee est un projet de système de bioéclairage, sans consommation d’électricité ni émission de pollution lumineuse grâce à la bioluminescence, propriété naturelle d’organismes vivants à produire de la lumière. Il a été conçu pour répondre aux problématiques actuelles de l’éclairage urbain. L’équipe de chercheurs travaille afin de mettre au point une solution idéale qui fera de la lumière, le plus longtemps possible en optimisant les bactéries, leur milieu nutritif et leur contenant. Celui ci n’est lumineux que la nuit. Glowee est constitué d’une coque organique biodégra-dable, transparente et adhésive. Pour illustrer, on peut observer sur le schéma ci dessous comment, en 5 étapes, les chercheurs réussissent à incorporer des bactéries luminescentes dans une coque à partir d’un animal bioluminescent :

Tout d’abord, on voit que les calamars hébergent en symbiose des bactéries bioluminescentes qui permettent l’émission de lumière.

Ensuite, on observe que cette lumière émise est régie par 1 gène ( qui est très fréquent en laboratoire et qui est disponible via des banques d’ADN).

Puis ces bouts d’ADN sont insérés dans des bactéries communes de laboratoires, et elles sont rendus bioluminescentes et performantes par un travail d’ingénieurie.

Une fois qu’ils ont les bactéries « finales », c’est à dire les meilleures, ils les font se reproduire afin de créer la matière première bioluminescente

Enfin la solution bioluminescente est insérée dans la coque en résine orga-nique et biodégradable, ce qui lui donnera ainsi la formé souhaitée.

Il existe de nombreux avantages qui favorisent l’utilisation de ces bactéries, elles ne consomment pas d’électricité et elles n’ont donc pas besoin de cables pour se relier ( elle sont mobiles ), elle ont une forme que l’ont peut choisir ca sa matière est modulable et se reproduit facilement et enfin son système adhésif lui permet de se fixer aux surfaces vitrées. ( sans oublier la beauté de cette lumière ).

Si l’on peut donner des chiffres, on pourra dire que les bactéries luminescentes seront la source proche d’un grand éclairage, dès janvier 2017 ils pensent illuminer des vitrines avec Glowee afin de réduire l’impacte écologique et la consommation d’énergie. Puis dès 2018 Glowee sera une lumière prête à s’intégrer au paysage urbain : Bâtiments signalétiques, mises en valeur, mobilier urbain et il y a également des usages possibles encore nombreux.

Nous avons observés que la bioluminescence est un phénomène utilisé par beaucoups d’êtres vivants, et majoritairement par les organismes marins. Ces organismes utilisent ce phénomène pour s’éclairer, se défendre, communiquer entres toutes les espèces marines, et donc pour la diversité animale marine.

Nous avons montrer que ce phénomène fonction à partir de beaucoup de réactions chimiques, entre la luciférine, la protéine substrat et la luciférase (enzyme). De ce fait la réaction émet un photon, exite la luciférine et produit de la lumière ; on a souligner par la suite que cette réaction peut avoir lieu à l’interieur, à l’extérieur de la cellule ou bien par des bactéries.

Pour finir, nous avons montrer l’inspiration de l’homme de ce phénomène dans beaucoup de domaines ; ils l’utilisent sur des végétaux, des bactéries qui seront bientôt une révolution pour le monde en terme d’économie et de pollution et également la reproduction en laboratoire de ce phénomène nommée chimiluminescence est l’adaptation de l’homme de la bioluminescence. Celle-ci a une réaction différente mais un résultat identique grâce au luminol et au peroxyde d’hydrogène qui remplacent la luciférine et la luciférase qui sont les éléments principaux de la réaction. La chimiluminescence est souvent utilisée dans la médecine, la police et les loisirs.