Finace islamique tpe plan
Par Raze • 7 Novembre 2017 • 1 174 Mots (5 Pages) • 693 Vues
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“Bailleur/Locataire et “Intérêt” par “Marge” ou “Loyers” (“profit return”).
1. La murabaha
2. L’Ijara
3. L’Istisna’a
4. Les sukuks
B – Financement sous forme de participation (sociétés) (Louis)
1. La mudarabah
2. La musharaka
III. LES ENJEUX DE LA FINANCE ISLAMIQUE
L’idée générale est d’envisager ici les freins et les vecteurs de développement de la finance islamique aujourd’hui.
A – Politiques (Guilhem)
1. La question identitaire : les ressorts du recours à la finance islamique ; est-ce vraiment différent ; Mecca Cola
2. La question républicaine : quid de la compatibilité du financement Charia avec le principe de laïcité de la République française ?
Il ne s’agit pas de soumettre le droit français à la Charia mais de faire en sorte que les montages financiers réalisés soient compatibles avec celle-ci.
Le caractère Charia des produits ainsi structurés ne se trouve pas en contradiction avec les dispositions de l’ordre public français, dès lors que les dispositions légales et réglementaires françaises sont respectées et qu’aucune discrimination vis-à-vis des clients n’intervient (cf. opinion exprimée par T. Francq, chef du service du financement de l’économie à la direction du Trésor – Revue Banque n° 696 novembre 2007).
Toutefois, abandon de la réforme du code civil en 2009 censurée par le conseil constitutionnel
B – Economiques (Jean)
3. Défi de la réception du marché de la finance islamique avec la concurrence de Londres et Paris ; Concurrence des places financières de Londres et de Paris : La Place de Londres a adopté des réformes dites Charia friendly
4. Défis pour la croissance de la finance islamique tenant à l’éclatement des interprétation de la Charia : absence d’uniformité des interprétations et nécessité d’une standardisation, est-ce un frein à développement ?
Ecoles de pensée
Diversité des madhhab (écoles de pensée). Ainsi, pour les Sunni (85-90% de la population musulmane mondiale) :
école Hanafi (Asie centrale; notamment au Pakistan);
école Hanbali (Moyen-Orient; notamment en Arabie Saoudite);
école Maliki (Afrique; notamment au Maroc);
école Shafi (Asie du sud-est; notamment en Malaisie).
Perspective/Problématiques
Tendance au rapprochement avec l’utilisation croissante en Asie des standards moyen-orientaux afin d’attirer les pétro-dollars (par exemple, à l’occasion de l’émission de sukuk pour la Malayan Banking Berhad en avril 2007);
Cette diversité est source de divergences : un des principaux obstacles au développement d’un marché mondial de la finance islamique.
Limites
Absence d’autorité suprême pour fixer des règles applicables à tous et en tous lieux ;
Absence d’autorité de la chose jugée des fatwas (les investisseurs refusent parfois de les suivre) ;
Rareté des spécialistes de la Charia sur le marché (tempérament : contribue à l’harmonisation des interprétations) ;
In fine, il appartient aux investisseurs de se faire leur “propre religion” sur la conformité de l’opération aux principes de la Charia.
CONCLUSION (Jean)
Situation internationale : incidences sur l’essor de la finance islamique ?
Finance islamique et finance éthique (nouveau visage de la finance islamique plus consensue
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