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Les fondements de l'économie et de la sociologie

Par   •  25 Juin 2018  •  5 415 Mots (22 Pages)  •  523 Vues

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⇒domination des SARL parmi les soc mais part en baisse et progress° des SAS.

C) La structure du tissu productif français

- Un changemt récent de déf et de catg statistiques

Dps 2008 E nvl déf +éco d’ℇ : logiq gp et critère d’autonomie décis°: ℇ = la+petite combinais° d’U légale qui constitue 1U orga de prod°de B/S jouissant d’1cert éco de décis°, notamt pour l’affectat°des ses ressources courantes. Groupe =E de soc liées entre elles par des participat°au K et parmi lesquelles l’1exerce pvr décis°sur les autres(soc mère/holding).

Poids des gp dans le tissu prod fr : microℇ/tpePMEETIgrandes ℇ (ttes autres>).

- un tissu productif diversifié mais concentré

Poids des GE+fort avec nvl classificat°: 3,14m en fr 2011 donc 3,9m d’U légale et 50’000gp, 100→243/2009-2011 et 30%s, 50%CA à l’X°→à cause de changmt de critères. Salariés ≈ équitablemt répartis entre les catg. Poids des gp :1,5%ℇ, 64%s et 70%VA.

microE = surtt dans les S aux particuliers, le com et la construct°. PME = dans ts les secteurs, de petite taille et peu insérées à l’intern°. ETI = +indus, logique de gp et+intern°. GE = en gp, dans l’indus (automob 75%employés, moy transport), les S en réseau (nrj, télécom, transpts), com et activités finc (banques et ass)→ situat°d’oligopole, coûts fixes élevés, forte éco d’échelle, coût moy faible et donc sont+concurrentiels.

Concentration verticale (s’occupe de tt la prod d’1seul prod) ≠ concentrat°horizontale (1des phases mais exclusivemt) ≠ concentrat°conglomérale (activités compltmt≠) pour raisons de dim° des risques, car 1activité touche à 1autre ou pour des raisons pol, éco..

+ externalités (déf) pas prises en compte dans les calculs indiv car pas de contre-parties monétaires.

- L’internationalisation des ℇ françaises

3’000 FMN en 2010 avec 47%emploi, 54%VA et du CA à l’étrg et 86%X°. Internat°bcp+forte des GE (surtt dans l’indus avc 2/3effectifs à l’étrg, gd distribut°, BTP). Peut se voir à travers les IDE.

- les entreprises publiques

ℇ détenues majoritairemt par l’Etat dont l’activité 1e est la vente de B/S marchds (≠institut°pubc). L’Etat peut avoir contrôle direct ou indirect (à travers filiales dont il est la soc mère). Rpz 1444 soc et et 801’000salariés 2012 (effectifs très concentrés) les 3+gd SNCF, EDF, Poste. Poids du secteur pubc est en baisse dps 1980’,gd moments de nat° en Fr en 1946 et 1982 (Mittérand). Mais influence aussi via participat°dans les GE → ℇ semi-pubc.

- les administrations publiques

Ont pour f°1e la prod de S n-marchnds, sont surtt fincé par PO et effectue des act°de redistribut°rvn. 3gd catg : admin° pbq d’Etat, admin° pbc locales (E des co territoriales, lycées, collèges) , admin° de sécu sociale (hôpitaux et régimes d’ass soc).

Justificat° de prod de ces S par les APU : car biens collectifs (n-rival et n-exclusif, on ne peut en tarifer l’usage donc n-rentable pour acteurs privé), bien public (prod par puissance pubc, sont pas ts des bc); biens tutélaires (pubc car doivent ê conso de façon obligt, ê accessible sans qu’intervienne l’exclus°par les prix- usé par choix pol, éco (intérêt collectif) et externalités).

-Les dépenses des amd pubc (DP/PIB): poids cr (57%PIB)↗mécanique des dép soc en cas de crise ou ralentissemt de l’activité (joue rôle de stabilisateur) ou plan de sauvetage des banques par l’Etat. Augmt° faible en fr entre 2011-14 dû aux pol fermes de limitat°des DP mais PIB a aussi augmt lentemt donc le ratio a continué de progresser. Structure de ces DP: 56%PS/santé; 12%S pubc générx; 10%enseigmt.. / DP des autres pays eurpn, la≠se fait surtt au nv des PS. Ce haut tx d’enseigmt s’explique par le gd nb de jeunes (indice de fécondité fr particulièrmt haut).

La charge de la dette (payer les txi⇒ alourdi dép et réduit marge de m-o)=4,5%dette mais poids de la dette est passé de 20%PIB1980 à 95%aujd=2e dép de l’État. Part prépondérante des prestat°et transferts (qu’on retrouve dans les dép de sécu, explique+de 80% de l’↗des DP dps1980’). Les dép de l’Etat partent surtt dans rémunérat°des s (f°pubc hospitalière, d’Etat et territoriale)=5,5m pers.

-Poids cr des APUL (adm pub locale) et ASSO (adm sécu soc) explique en parti les DP accrues. Les dép des ASSO ass vieillesse, fam, accidents du trav sont dû à l’augmt°de durée de vie (part des pers âgées/pop totale-papy boom) ralentissemt progrss°des dép (report de l’âge de retraite..)⇒ reste un système rltvmnt généreux/à ceux des pays voisins. Ces dép accrue st aussi dû à la santé (pers âgées dépense+en santé) un pays qui s’enrichi a tendance à dép part de+en+imp en santé→peut entraîner des effets pervers liés au remboursemt des S de santé (chez conso et médecin). Les dép des APUL ont augmté (7%-12% en 2013) à la charges des coll locales : écoles, routes..75%invest pubc.

Les recettes publiques

dont 1e source st PO (90%)= ts versemts effectués par les pers physiques ou morales aux APU à fin de fincr leurs dép (dt douane, part d’ℇ, intérêts des prêts donnés, amendes..)

PO=impôts (direct/indirect)+CS→ rpz aujd 45%PIB ≠ CS=E des versemt que indiv et leur employeurs effectuent aux APU.

La part la +imp va aux ASSO et elle n’as fait qu’augmt dps 1980’ tt comme celle qui va aux APUL. La fiscalité fr est une des +imp des pays de l’OCDE. Les CS pèsent+sur le poids des PO contrairmt aux impôts sur les soc et pers.

impôt direct (payé et supporté par la m^ pers) ≠ impôt indirect (redevable ≠ contribuable-celui qui supporte)

- impôts direct :

IRPP (impôts sur rvn pers physique-1914) impôt progressif (augmt par tranche d’imposit°rltvmnt en f° du rvn mais systm fiscal peu progressif (voir dégressif) car impôt sur rvn peut imp (1des seuls progressif +50% pop ne le paie pas) (le tx marg d’imposit°a dim, E « niches fiscales », les CS sont plafonnées, baisse de l’impôt sur la success°et de la façon généralisée de l’impot sur le K)= échec de la redistribut°.

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