Les assurances Sécuriplus

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à diverses interventions de ce même M. Blanchette que la subordination de l’intérêt particulier à l’intérêt général est mise de l’avant. Devant répondre à certains critères de rendement, il souhaite y parvenir, peu importe les divers intérêts généraux qu’il doit bafouer.

De l’autre côté de la médaille, les concepts d’union du personnel, d’initiative et de stabilité ne correspondent pas à l’entreprise. On peut bien le voir par l’acharnement négatif du directeur du service des réclamations/médicaments sur ses employés.

Question 3.

Selon le modèle participatif et à partir des postulats du mouvement des relations humaines, plusieurs conseils peuvent être énoncés pour la société d’assurances Sécuriplus.

En effet, dès les premières lignes, nous pouvons retrouver ceci : « M. Blanchette commençait à penser qu’il lui faudrait congédier quelques-uns de ses employés pour donner un avertissement sérieux aux autres». (A. Atkinson, 1999) À ce moment précis, il faudrait plutôt organiser une réunion (un Kaizen par exemple) avec tous ses employés afin de discuter de la situation globale et tenter des trouver, par des processus ou par des procédures, des solutions viables au problème énoncé. M. Blanchette pourrait même choisir quelques personnes précises afin d’entrer en phase de gestion de crise; les plus grandes responsabilités motiveraient beaucoup plus ses employés.

En effet, la centralisation du pouvoir comme gestionnaire de sa division lui empêche une communication bidirectionnelle. Par exemple, la diffusion interne du rapport aurait dû être autorisée afin de permettre à tous de le consulter. Il est important de décentraliser afin que chaque personne se sente concernée par la qualité et l’assiduité de son travail. De la sorte, il pourrait même observer des idées novatrices provenant de ses employés.

En définitive, il faut se rappeler que M. Blanchette est le directeur du service des réclamations des médicaments et s’occupe donc de la gestion de 16 employés au total. Malgré une procédure très linéaire et quotidienne, il devrait simplement prendre le temps de se rappeler que ses employés ne sont pas des automates et qu’ils doivent également sentir une cohérence dans l’organisation. En améliorant le climat social et en favorisant une adhésion dans la manière, de faire, en équipe, la productivité sera certainement plus efficace et la plupart des maux de M. Blanchette seront résorbés.