Les accessoires pour les cheveux au Royaume Uni.
Par Ninoka • 9 Novembre 2017 • 6 715 Mots (27 Pages) • 667 Vues
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- Les infrastructures existantes et connexions au Royaume-Uni
- Total des voies de chemin de fer au Royaume Uni : 16 878 km
Les trains circulent sur la voie de gauche. Le gabarit des trains est plus réduit que les gabarits continentaux. Le tunnel sous la Manche relie le réseau ferroviaire britannique au continent.
Ville dotées d'un réseau de métro : Londres, Liverpool, Glasgow.
Ville dotées d'un réseau de tramway : Birmingham, Blackpool, Londres, Manchester, Nottingham, Sheffield.
- Total des routes au Royaume Uni : 371 603 km
Pour limiter la congestion de la circulation automobile dans le centre de Londres, un péage urbain est perçu depuis le 17 février 2003. La zone concernée représente 22 km2, soit 1,3 % de la superficie totale du grand Londres. Le montant est de 8 euros par jour (entre 7 h et 18 h 30). Le contrôle se fait automatiquement par des moyens vidéo qui photographient les plaques d'immatriculation.
- Ports au Royaume Uni : Aberdeen, Avonmouth, Belfast, Bristol, Cardiff, Douvres, Falmouth, Felixstowe, Glasgow, Gloucester, Grangemouth, Hull, Larne, Leith, Liverpool, Londres, Manchester, Peterhead, Plymouth, Portsmouth, Scapa Flow, Southampton, Sullom Voe, Tees, Tyne.
- Aéroports au Royaume Uni : On compte 357 aéroports avec piste en dur et 141 avec piste en terre.
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Les conditions d’accessibilité économique
- Croissance de la production
Le Royaume-Uni est la septième économie mondiale en 2012, avec un produit intérieur brut (PIB) de 2 480 milliards de dollars, derrière les États-Unis, la Chine, le Japon, l'Allemagne, la France et le Brésil. Il était la sixième puissance économique mondiale en 2008, derrière la France32. En classement par PIB en parité de pouvoir d'achat (PPA), le Royaume-Uni est le huitième pays, devant la France. La ville de Londres est un centre majeur économique et commercial du niveau de mégapoles telles que New York ou Tokyo. Pendant vingt-cinq ans, l'économie britannique s'est vue être désignée par certains depuis les années 1980 comme le modèle anglo-saxon s'appuyant notamment sur les principes de libéralisme, de marché libre et de faible taxation.
- Produit National Brut (PNB): $2.25 milliards (2011)
- Produit Intérieur Brut (PIB) - Taux de croissance réelle: 1,1% (2011)
- Produit Intérieur Brut (PIB) par habitant: $35,900 (2011)
- Niveau de productivité
La productivité du travail est plus faible au Royaume-Uni que dans les autres pays de l’Union européenne. La raison est essentiellement que le taux d'emploi est très élevé : les individus les moins productifs participent au marché du travail, ce qui diminue donc le niveau moyen de la productivité.
Le taux d'emploi (proportion de la population en âge de travailler qui a effectivement un emploi) est de 72,6 % en 2005, contre seulement 65,2 % en moyenne dans l’UE-15 et 62,3 % en France.
L’Office national des statistiques (ONS) a un peu fissuré le rêve en révélant que la productivité du Royaume-Uni, en base 100, se traînait à environ 20% derrière la plupart des autres économies comparables. La production horaire des Britanniques, la mesure clé de la productivité, a été inférieure de 16% par rapport à la moyenne de celle des pays du G7, en 2012. L’écart de productivité était de 24% avec la France et l’Allemagne et de 29% avec les Etats-Unis. Le problème de la faible productivité britannique - qui n’a rien à voir avec le nombre d’heures travaillées (les Britanniques travaillent en moyenne 1 648 heures par an, contre 1 479 pour les Français et seulement 1 397 heures pour les Allemands) - n’est pas nouveau. La productivité britannique a baissé en 2012 alors que celle des autres pays du G7 a augmenté. Or, l’ONS l’explique lui-même : «La productivité est un indicateur économique clé pour mesurer l’efficacité et la compétitivité d’une économie.»
- L'investissement direct étranger (IDE) au Royaume Uni
D'après le Rapport sur les investissements mondiaux 2013 de la Conférence des Nations Unies sur le Commerce et le Développement (CNUCED), le Royaume-Uni est la sixième destination mondiale des investissements directs étrangers (IDE) et le cinquième pays investisseur. Les flux d'IDE, qui avaient nettement diminué depuis la crise financière internationale de 2009, sont repartis à la hausse depuis 2012, tendance qui devrait se confirmer.
Le Royaume-Uni garde de solides atouts: Londres apparaît toujours comme la capitale financière de l'Europe, la Grande-Bretagne possède une monnaie forte et est l'un des plus importants marchés européens.
Il y a des avantages à invertir au Royaume Uni puisque la vitesse des procédures : treize jours seulement sont nécessaires pour mettre en place une entreprise au Royaume-Uni, par rapport à la moyenne européenne qui est de 32 jours, ce qui place le pays à la première place en Europe et la sixième place dans le monde. C’est là le principal atout. De plus, L'environnement est favorable pour les investisseurs étrangers grâce à une fiscalité peu élevée. Londres est le leader mondial des centres de services financiers sur un certain nombre d'indicateurs clé de performances et a une nouvelle fois été élue meilleure ville européenne pour les affaires par le European Cities Monitor qui étudie l'attractivité des villes.
Cependant, le pays connait des faiblesses. En effet, il y a une trop grande influence du secteur financier dans le PIB, des infrastructures de mauvaise qualité et un haut niveau de compétitivité de la part des entreprises étrangères dans le secteur industriel.
Le gouvernement a mit en place certaines mesures. Les sociétés étrangères sont traitées exactement comme les sociétés britanniques. Au sein de l'UE, le gouvernement britannique est un ardent défenseur des droits de toutes les sociétés inscrites au registre des sociétés britanniques, quelle que soit leur nationalité ou celle de leur propriétaire.
- Taux d’inflation et chômage
Quand nous parlons
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