Devoir maison : Organisation des entreprises
Par Matt • 14 Mai 2018 • 1 267 Mots (6 Pages) • 770 Vues
...
- L’importance du relationnelle :
Le système des castes au sein de l’entreprise permet de mieux cerner son interlocuteur et de créer une relation dite de « qualité ». La frontière entre la vie privé et professionnelle existe peu. Les indiens accordent beaucoup d’importance aux relations humaine, plus qu’aux taches à effectuer, il n’apprécie par ailleurs, pas la moindre autorité. Ils sont donc amener à parler fréquemment de leurs familles durant le temps de travail.
- L’harmonie collective :
Les entreprises indiennes cherchent avant tout la proximité des un avec les autres car ils sont souvent amenés à travailler en équipe. Il est très mal vue en Inde d’entamer une conversation en parlant de travaille surtout quand c’est le manager qui commence la discussion. Dans leur culture cela est un signe de surveillance et de contrôle qu’ils ne supportent pas. Il faut donc entamé la conversation de manière informelle sur la famille où sur l’état d’esprit de l’interlocuteur.
- La notion du temps :
Le temps est un élément cyclique en Inde, c’est à dire que tout ce qui n’est pas fait dans cette vie sera fait dans la prochaine. Les entreprises indiennes prennent donc généralement du retard dans leurs projets.
- L’importance de la religion :
Le travaille est souvent interrompu pour laisser place à la prière et l’existence de nombreuse fête religieuse demande une souplesse managériale en raison d’un taux d’absentéismes assez élevé. Un manager doit donc s’assurer que l’horoscope et la religion soient favorables avant de fixer des dates de rendez-vous important.
Deuxième partie : Vison du salarié et du manager
- Vision du salarié
- En Inde :
- En chine :
Le salarié chinois aime beaucoup se rendre au travail, car il aime être productif et est réellement motivé par les intérêts qu’il peut toucher (récompense financière, obtention d’une promotion ou d’une formation…) De plus cette «esprit de famille» lui permet une approche plus facile envers ces interlocuteurs. Le salarié chinois, en général aime les rituelles et les coutumes de l’entreprise car cela lui facilite sa communication a l’interne, il se sent chez lui.
- Vison du manager
- En Inde :
Il a plutôt tendance à être stressé car il doit faire face a beaucoup d’imprévue (absence de salarié pour cause religieuse par exemple). Ces « ordres » sont exécutés à la lettre mais de manière mécanique (sans regard critique), donc en cas d’imprévue aucune communication ne sera transmise au manager. C’est donc à lui de s’informé régulièrement de l’avancement du projet tout en ne montrant aucun signe d’ordre, de surveillance ou d’autorité. Le manager d’une entreprise indienne doit donc s’assurer que le projet avance en temps et en heure tout en s’assurant de ne pas être trop autoritaire.
- En Chine :
Il a tendance à avoir peur de ne pas assez bien faire. Il doit être très diplomate car il doit sans cesse s’occuper des problèmes de hauts en bas. Il doit s’assurer que l’ambiance de « famille » est toujours présente donc être toujours à l’écoute de ses salariés tout en jouant un rôle de policier de temps en temps, il met d’ailleurs en place une sorte d’exploitation sentimentale. Il doit être compétent dans tous les domaines car il a peur de la délégation ou encore d’être mis en « sustentions ». Il a sans cesse une pression sur ces épaules car il est évalué par ses collaborateurs.
Nous pouvons voir que dans nos deux cas les managers doivent s’informer de la vie privé de leurs salariés, ils doivent également faire face à une grosse pression managériale qui vient pour l’Inde de l’imprévision des salariés et pour la Chine de la peur de ne « pas bien faire ».
...