DOPS, les fonderies, deuxième partie.
Par Junecooper • 7 Juin 2018 • 837 Mots (4 Pages) • 468 Vues
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Une réflexion personnelle sur les documents est autorisée.
1-Difficultés d’ordre culturel
2- Difficulté d’ordre juridico-économique
La conclusion permet de faire un bilan dans lequel il y a une réponse au problème posé précédemment
La bibliographie ou sitographie permet de retrouver les sites internet ou livre qui ont été utilisé pour créer ce dossier documentaire
Le lexique si besoins
B)
La chine offre de nombreuses opportunités de ce diversifier, malgré tout de nombreux obstacles culturels, économiques ainsi que juridiques peuvent faire barrière à la signature d’un contrat ou à l’installation d’une filiale de notre entreprise en Chine.
1- Leur ouverture sur le monde pourrait faire penser qu’ils se sont ouvert ou qu’ils se sont occidentalisés mais pas du tout. Il existe de nombreuses règles comme le respect de la hiérarchie, l’humilité, le sens des relations humaines, la fidélité sont des préoccupations majeures. Il faut donc tout d’abord nouer une relation personnelle de confiance qui peut évoluer en fonction des circonstances. C’est un processus qui prend beaucoup de temps et qui demande une attention de tous les instants. En Chine la patience est primordiale dans la négociation de contrat. Il vaut mieux avoir quelqu’un d’européen sur place qui pourra manager les équipes sur place car les Chinois ne sont pas très fiables. Le mieux est d’associé un directeur chinois et un directeur européen. Il faut absolument se faire son réseau relationnel ainsi appelé Guanxi en Chine. La Chine est considérée comme un pays pas cher. C’est la cas dans les terres mais il y a de gros problème d’infrastructures et de recrutement par contre sur la côte des pris ont beaucoup augmenté. Si ont se contente de vendre en Chine alors la zone côtière est inévitable. Si on monte un joint-venture alors il sera tout à fait possible d’aller dans la Chine profonde.
- La Chine a une grande connaissance de ces marchés ce qui les fait ce rapprocher des standard occidentaux puisque le salaire moyen par tête est supérieur à 10000$. Mais attention en Chine de nombreux habitant vivent avec 10 ou 20 fois moins d’argent. Il faut commencer par bien connaitre le circuit décisionnel et bien connaitre ces partenaires. La partie chinoise a souvent tendance à surévaluer les actifs et masquer ses faiblesses il faut donc rester assez méfiant. Les autorités cherchent souvent à imposer pour des raisons d’intérêt des partenaires locaux, qu’il faut tout simplement refuser.
La répartition des tâches doit être définie dès le départ car des problèmes d’impayé sont souvent à déplorer.
En effet les marchés, les mentalités et pratique d’affaire ne sont pas les mêmes que se soit au nord, au sud.
Les quelques 500 entreprises françaises installées en Chine demande de plus en plus d’activités complexes à forte valeur ajoutée se qui implique une formation des hommes et une optimisation des transferts technologique. La Chine essaie dès à présent de renforcer son système éducatif mais de gros investissement seront à prévoir au niveau de la formation.
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