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Code d'hammurabi

Par   •  8 Décembre 2017  •  973 Mots (4 Pages)  •  660 Vues

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- Glorification du roi

Le roi est à l’origine de tout. Il tient ce pouvoir des dieux et essentiellement de Samash le dieu soleil. Dans le code d’Hammourabi, beaucoup de références sont faites aux Dieu qui l’aident à faire prospérer le territoire.

- roi de droit divin

Au XVIIIème siècle avant Jésus Christ, ce sont les dieux qui sont à l’origine des règles. Le roi, est directement lié à eux et ne fait que suivre la volonté divine. En d’autres termes, il doit ses pouvoirs aux dieux. C’est ce qu’il explique dans le Code. Il évoque au début de l’éilogue, Enlil, un des dieux principaux de la religion mésopotamienne antique, du destin et de la royauté. Il retranscrit leur parole « j’ai {…} érigé mes précieuses paroles, gravées sur mon mémorial, devant ma propre image de roi de justice ». Grâce aux dieux, Hammourabi représente la lumière qui peut être comparé au divin « J’ai expliqué toutes les grandes difficultés, je les ai éclairées. »

Grâce à la volonté divine, Hammourabi éclaire les hommes, les conduits vers la sagesse. Il transmet tous les pouvoirs que lui ont notifiés les dieux et fait ainsi prospérer le territoire.

- prospérité du territoire

Le roi de droit divin a l’obligation de faire de son territoire, un territoire sans trouble. Il a déjà éliminé ses ennemis et promet la paix à ses hommes grâce à ses armes puissantes que lui ont confié les dieux.

Sur le territoire de son peuple, Hammourabi fait régner la prospérité « soumis la terre, apporté la prospérité au pays, garanti la sécurité des habitants dans leur maison ; nul fauteur de troubles n’était autorisé. » Il fait une fois encore référence aux dieux tels que Ishtar, une déesse chez les babyloniens qui doit son nom à son activité culturelle jamais égalée par aucune autre déesse du Moyen-Orient. Il évoque aussi Mardouk qui représente la divinité agraire. Les dieux lui ont permis de faire fleurir l’espace entier et de chérir ses habitants « je suis le berger protecteur du salut, au droit bâton, la bonne ombre étendue sur ma cité ; sur ma poitrine, je chéris les habitants de Sumer et d’Akkad »

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