Bibliographie dopage

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Rappel de l'affaire Balco :

Une enquête avait révélé que Marion JONES avait consommé de la THC en 2000-2001.

Marion JONES :

II/ LE DOPAGE : UN FLEAU INTERNATIONAL

De nombreux pays répartit dans les quatre coins du monde ont été soupçonné de triche. En outre, ils sont accusés d’avoir eu recours à des produits dopants. Parmi eux figurent : la Russie, le Kenya, le Brésil, l’Allemagne, les Etats-Unis, la Chine, La Grande-Bretagne et la France. Ces pays sont accusés dans n’importe quelles disciplines sportives : l’athlétisme, le football, le basketball, le base-ball, etc...

- La Russie :

Suite à des soupçons d’antijeu dans le monde de l’athlétisme, la fédération russe a écopé d’une suspension du Conseil de la Fédération Internationale d’athlétisme (IAAF), le vendredi 13 novembre 2015. Cette décision était attendue par des concurrents comme la France, l’Australie, la Grande Bretagne ou encore la Nouvelle-Zélande. La fédération est suspendue provisoirement de toutes compétitions. Selon le président russe, son état communiste n’a rien avoir avec cette supercherie.

- Le Kenya :

L’IAAF est très loin d’en avoir fini avec les scandales liés au dopage. Le Kenya est dans le collimateur de la commission indépendante. Ce pays est accusé pour les mêmes faits que les russes. L’Agence mondiale antidopage (AMA) est également sur le coup. La fédération kenyane (AK) pense éviter la suspension au détriment de la Russie, en renvoyant quelques athlètes pendants un certain temps (deux à quatre ans).

- Le Brésil :

Dans le monde du football, les sanctions sont également présentes. Ce fut le cas pour le jeune milieu international brésilien Fred Rodrigues, âgé de 22ans. Il a été suspendu un an par la CONMEBOL (Confédération sud-américaine de football) après un contrôle anti-dopage qui s’avérait positif à son égard. Il est privé de toutes compétitions sud-américaines mais peut jouer avec son club actuel, le club ukrainien Chakhtior Donetsk. La Fédération Brésilienne de football (CBF) confirme sa suspension et sa sanction.

- L’Allemagne :

Il n’y a pas que les joueurs qui sont surveillés, les entraineurs le sont aussi ! C’est le cas du sélectionneur d’Allemagne : Joachim Löw. Le patron des champions du monde en titre a été mis en cause dans une affaire de dopage datant des années 1970 à 1980 avec Fribourg et Stuttgart. Après son élection en tant qu’entraineur FIFA de l’année 2014, il a réagi et nié les faits. L’Allemagne mit en place une nouvelle loi antidopage. Celle-ci concernera les sportifs coupables de dopage ou de détention de produits dopants. Ils encourent jusqu'à trois ans de prison, selon la nouvelle loi antidopage entrée en vigueur en début de cette année 2016.

- Les Etats-Unis :

Pour le géant américain ça sera le baseball. La fédération américaine n’avait jamais évoqué cette triche pendant fort longtemps jusqu’au jour où le rapport Mitchell fut présenté en fin 2007. Ce rapport inclus 89 sportifs dopés. La NBA, le Hockey MMA (Mixed Martial Arts) ou encore le foot US connaissent eux aussi des scandales. Des centaines de sportifs sont impliqués dans ces dossiers douteux.

- La Chine :

La chinoise Wang JUNXIA est championne et recordwoman du 10000m et du 3000m depuis 1993 à l’âge de 20 ans. Dans une lettre écrite à cette époque elle dénonce son propre entraineur avoir obligé à prendre des produits dopants. Apparemment elle n’était pas la seule, dans la même année 66 records nationaux et mondiaux ont été battu grâce au même entraineur : Mr Ma JUNXIA. Un porte-parole de l’IAAF a réagi et pourrait annuler les deux records du monde de la chinoise.

- La Grande-Bretagne :

La Grande-Bretagne est également pointée du doigt par les dirigeants de l’AMA. Mais pas pour les mêmes motifs. Selon le comité, le pays ne respecterait pas le Code mondiale antidopage. L’organisation juge le pays trop sévère en bannissant à vie des sportifs ayant purgé leur suspension pour dopage. Les anglais sont toutes fois soupçonnés de tricherie. Suite à la finale de vitesse individuelle (cyclisme en salle) aux Jeux Olympiques de Londres en 2012, les français accusent les anglais d’avoir triché à l’aide du dopage mécanique* sur le vélo du vainqueur Jason Kenny battant Grégory Baugé, le français écrasait depuis 4 ans la discipline.

Le dopage mécanique consiste en l’utilisation de moteurs électriques que l’on peut placer dans les cadres de vélos afin d’augmenter la performance de ces engins.

- La France :

La France n’est pas écartée dans cette histoire de tricherie. Dans le domaine du basketball elle a connu un cas, celui de Joakim Noah. Ce basketteur évoluant en NBA, où les cas de dopage (à usage récréatif) sont la plupart révélés par les médias, en a fait les frais pour consommation de cannabis. Il est envisageable qu’il ait pris également des hormones de croissance comme les autres basketteurs vu leurs tailles gigantesques. On relate le recours au dopage dans d’autres sports comme :

- le handball où bien que dans ce domaine cela ne soit pas nécessaire, un cas de dopage a été médiatisé. Où joueur avait consommé du cannabis.

- la natation où on ne connait pas de grand scandale médiatique. Le nageur Frédéric Bousquet avait été contrôlé positif, le silence avait été maitre sauf pour un média.

Au niveau local, l’Agence française de lutte contre le dopage avait suspendu en 2012 le vainqueur du Tour de Guyane 2011, à savoir Joann RUFFINE et cela pendant deux ans. Il a repris la compétition jusqu'au 17 février 2014 selon la fédération française. Dans le même cas, le cosaque Artyom ZAKHAROV a été déchu de son titre du tour de Guyane 2013. Il était condamné à six mois de suspension et tous ces résultats individuels ont été effacés. Le second de ce tour, le martiniquais Mickael LAURENT, qui devait être vainqueur. Dans le même tour d’autre coureur ont été signalé comme l’allemand Marcel RUDKOWSKI ou encore le guyanais Jair ZEPHIRIN.

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