Quelle est la nature des situations problématique qu’expose ce cas?
Par Christopher • 23 Février 2018 • 930 Mots (4 Pages) • 730 Vues
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physique grave ou permanente des employés, une diminution de la production et une augmentation du taux d’absentéisme au travail. (Étude de cas, p. 2 parag. 3).
Quant à l’immobilisme à l’innovation de la direction, il est causé, par le manque d’écoute aux changements et par la complaisance des directeurs. (Étude de cas p. 7, parag. 2). Ils préfèrent «conserver leur mode de vie et leurs façons de faire» (BÉDARD; Michel et al, Management à l’ère de la société du savoir, 2011, page 303) ce qui nous démontre, comme le stipulent les auteurs précités, qu’on retrouve la résistance à tous les niveaux hiérarchiques. Ils n’acceptent aucun changement de quelque nature que ce soit. (Étude de cas, p.6, parag. 5). L’immobilisme entretenu par Mesdames Boisvert et Morenz nuit à la progression de l’entreprise. La société pourrait faire face à une perte considérable de la clientèle qui se plaint de l’état des lieux (Étude de cas, p. 2, parag. 3 et p.8, parag. 4). Ceux-ci finiront par se tourner vers d’autres concurrents même si Maynard offre une gamme variée et disponible de produits (Étude de cas p.2, parag. 3). Ce qui conduirait à une baisse de vente et conséquemment à une baisse de revenus qui pourrait éventuellement mener à la faillite de l’entreprise.
2) Sur le plan administratif, le style de gestion de la direction entraîne un climat de travail difficile qui n’est pas favorable à la motivation des employés. La gestion s’effectue à un seul niveau par une minorité qui abuse de son pouvoir, encouragée par l’indifférence de la haute direction (le président). En effet, Monsieur Laviolette, le président, a une attitude apathique ; il adopte un style de direction effacé (Étude de cas 3, parag. 1). Il semble avoir une confiance aveugle en ses directeurs et se repose entièrement sur eux notamment la directrice générale adjointe, Mme Boisvert et la directrice des ventes Mme Juliette Morenz. Réfractaires au changement, ces dernières ont un contrôle absolu sur toutes les décisions de l’entreprise et embarquent au besoin les autres directeurs dans leur position. Ici la communication n’est pas bilatérale, elle s’effectue plutôt du haut vers le bas.
Cette mauvaise gestion peut être à l’origine de beaucoup de conséquences telles qu’une surcharge de travail, un mauvais climat de travail, une démotivation générale des employés. Les employés se sentent abusés. «Ce n’est pas la première fois qu’il songe à déposer une plainte pour abus de pouvoir qui s’est détérioré en harcèlement psychologique». (Étude de cas, p.8, parag. 5).
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